AccueilMes livresAjouter des livres
Découvrir
LivresAuteursLecteursCritiquesCitationsListesQuizGroupesQuestionsPrix BabelioRencontresLe Carnet
>

Critique de Alfaric


A l'image de la saga "Harry Potter", ici les lecteurs grandissent avec le héros : dans les tomes 1 et 2 nous découvrions l'univers du "Codex Alera", ses intrigues et ses complots opposant super-héros et super-vilains, à travers les yeux d'un héros adolescents orphelins sans pouvoir aucun, et les tomes 3 et 4 ce dernier montait en grade pour défendre une société libre, égale, fraternelle et multiculturelle dans un monde autoritaire, inégalitaire, intolérant et mono-culturel, qui entre isolationnisme et impérialisme faisait la part belle au racisme, au suprématisme, au sexisme et à l'esclavagisme (toute ressemblance avec les USA n'étant évidemment aucunement fortuite !). Et dans ce tome 5 commence dans le sang et les larmes la fin de l'âge des hommes !
Avec leurs games of thrones à la con les homines crevarices ont ouvert la Boîte de Pandore avant de dérouler le tapis rouge à la Bête Immonde... Mais n'est-il déjà trop tard pour monter une Grande Alliance contre les forces de l'Axe ? Car c'est tout naturellement que les crevards habituels entre dans le collaborationisme en proposent leurs bons et loyaux à l'envahisseur tout droit sorti de "Starship Troopers" (mais pas que ^^)

Le prologue envoie du bois avec un des super-héros se battant sur le Mur d'Hadrien contre les barbares inhumains venus du nord, et des une patrouille d'espions qui découvrent que les Vordes sont de retour et maîtrisent désormais la magie : les hommes viennent de perdre le meilleur et seul atout contre les hordes aliens... mais pour connaître le fin mot de l'affaire, il faut faudra 1 clic supplémentaire (mais êtes habitués désormais depuis le Jeudi Noir de Babelio ?)
Commenter  J’apprécie          300



Ont apprécié cette critique (27)voir plus




{* *}