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Critique de Ness


Los Angeles, son soleil, ses plages et ses habitants ! ! ! Rossmore avenue c'est un peu Barbary Lane ou encore Melrose place. Quoique à bien y réfléchir ça ressemblerait plus à Melrose Place qu'à Barbary Lane mais bon...

Le 500 Rossmore Avenue abrite une tribu pas tout à fait comme les autres. Chaque étage à son lot d'habitant hors du commun : au rez de chaussé Cora, la concierge rêve de quitter son mari Pedro et de s'enfuir en Norvège. Au premier Luke, peintre bourré de TOC, au second, Georges un français expatrié aux USA pour retrouver son idole Sylvie Vartan, et ses voisins le coupe Manning, Jane et Charly qui se déchire depuis la naissance de leur fils et enfin au 3ème : Lily, une française, elle aussi qui a tout quitté il y a dix ans pour tenter sa chance à Los Angeles et qui n'est plus jamais reparti.

Tout ce petit monde se côtoie et tente de cohabiter le mieux possible. Seulement voilà se serait trop facile si la vie de s'en mêlait pas un peu. C'est ainsi qu'on suit les déboires de cette petite communauté.

Rien de bien intéressant ni d'innovant dans ce roman aux accents bien trop français pour être crédible.

« Une comédie délurée et subtile, dans l'esprit des Chroniques de San Francisco, où s'expriment avec justesse les fantaisies de l'âme humaine, la solitude et le doute. » Voilà, ce que nous promet la quatrième de couverture. Une promesse bien ambitieuse, on est très loin des Chroniques mais bon il faut dire qu'entre Los Angeles et San Francisco, il y a quand même 600km de distance. Ceci explique peu être cela.

Pour ne pas finir sur une note négative, je conseille ce roman à tout ceux qui cherchent une lecture facile pour la plage cet été.
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