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Critique de sagebooker
Dans la littérature "jeunes adultes" anglo-saxonne traduit par tonnes depuis quelques années, on sort rarement des stéréotypes du genre college et de la bit-litt'... ce roman ne fait pas exception hélas.
Les deux premiers tiers sont plutôt agréables à lire : la jeune fille coincée dans une ville vampire au lieu d'aller faire ses études au loin, et qui ne peut plus en sortir est un thème classique mais plutôt bien vu... le premier écueil arrivant dès les premières pages, on le passe, et on peut poursuivre (une jeune fille acceptée au MIT ? A Yale ? Et dont les parents refusent ces prestigieuses universités ?).
Les personnages sont eux totalement stéréotypés mais on s'y attache quand même, ce n'est pas donc pas totalement raté.
On perd notre temps en toute tranquillité avec eux dans cette ville fermée, aux mains, on l'apprendra, de deux cohortes vampiresques différentes, ayant la main mise totale sur les lieux mais faisant bande à part... et on se croirait dans un western, sachant que la cavalerie arrive toujours trop tard, c'est l'usage, et c'est le cas ici encore.
La seule chose qui fait perdre patience à la fin, c'est cette détermination à rester dans la ville pour deux des héros qui peuvent enfin la quitter... rien ne l'explique vraiment, et il faudrait le croire sur parole : d'un coup, ils veulent rester là où on ne pense qu'à les tuer et les mettre au pas ? A voir...
Les deux premiers tiers sont plutôt agréables à lire : la jeune fille coincée dans une ville vampire au lieu d'aller faire ses études au loin, et qui ne peut plus en sortir est un thème classique mais plutôt bien vu... le premier écueil arrivant dès les premières pages, on le passe, et on peut poursuivre (une jeune fille acceptée au MIT ? A Yale ? Et dont les parents refusent ces prestigieuses universités ?).
Les personnages sont eux totalement stéréotypés mais on s'y attache quand même, ce n'est pas donc pas totalement raté.
On perd notre temps en toute tranquillité avec eux dans cette ville fermée, aux mains, on l'apprendra, de deux cohortes vampiresques différentes, ayant la main mise totale sur les lieux mais faisant bande à part... et on se croirait dans un western, sachant que la cavalerie arrive toujours trop tard, c'est l'usage, et c'est le cas ici encore.
La seule chose qui fait perdre patience à la fin, c'est cette détermination à rester dans la ville pour deux des héros qui peuvent enfin la quitter... rien ne l'explique vraiment, et il faudrait le croire sur parole : d'un coup, ils veulent rester là où on ne pense qu'à les tuer et les mettre au pas ? A voir...
