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Critique de AliceNeverland
Il y a toujours cet aspect « gris » que j'aime tellement dans les histoires de Georgia Caldera. Tout est toujours très nuancé, que ce soit dans les actions des personnages que par l'intrigue générale, et c'est ce qui me charme toujours dans ses histoires. Sans oublier qu'elle a une façon de nous plonger dans son imaginaire chimérique que j'adore, avec douceur et onirisme, comme si on rentrait dans un tableau plein de brume et de mystères qui ne demandent qu'à se dévoiler.
Mais je ne cache pas que cette suite m'a tout de même parue assez lente. Georgia Caldera prend le temps de décrire son univers et ses personnages, ce qu'ils ressentent et ce qu'ils traversent. Parfois peut être un peu trop, car je trouve que ça cassait le rythme du livre. Les protagonistes analysent tout ce qu'ils voient, tout ce qu'ils éprouvent, et l'ajout d'un narrateur supplémentaire n'était pas forcément à mon goût, même si cela apporte une nouvelle vision sur les évènements qui se produisent (les romans avec plusieurs points de vue ne sont vraiment pas ma tasse de thé…)
La romance se développe de façon assez différente de ce que j'avais imaginée, ce qui est, finalement, assez compréhensible maintenant que la vérité à éclatée. Rozarian et Auréa vont devoir se redécouvrir réellement, et j'ai trouvé que c'était parfaitement bien traité par l'autrice. A côté de cela, les rebondissements s'enchainent dans la seconde partie du roman, et les choses se précipitent jusqu'à nous apporter une fin parfaitement concluante.
En définitive, La cité des songes est une jolie duologie qui mérite d'être découverte. Même si ce second tome est légèrement en dessous du premier, les personnages étant un peu trop introspectifs, Georgia Caldera nous offre un univers comme elle sait si bien les façonner, sombre, onirique, mais toujours avec cette douceur qui caractérise autant son écriture.
Lien : https://aliceneverland.com/2..
Mais je ne cache pas que cette suite m'a tout de même parue assez lente. Georgia Caldera prend le temps de décrire son univers et ses personnages, ce qu'ils ressentent et ce qu'ils traversent. Parfois peut être un peu trop, car je trouve que ça cassait le rythme du livre. Les protagonistes analysent tout ce qu'ils voient, tout ce qu'ils éprouvent, et l'ajout d'un narrateur supplémentaire n'était pas forcément à mon goût, même si cela apporte une nouvelle vision sur les évènements qui se produisent (les romans avec plusieurs points de vue ne sont vraiment pas ma tasse de thé…)
La romance se développe de façon assez différente de ce que j'avais imaginée, ce qui est, finalement, assez compréhensible maintenant que la vérité à éclatée. Rozarian et Auréa vont devoir se redécouvrir réellement, et j'ai trouvé que c'était parfaitement bien traité par l'autrice. A côté de cela, les rebondissements s'enchainent dans la seconde partie du roman, et les choses se précipitent jusqu'à nous apporter une fin parfaitement concluante.
En définitive, La cité des songes est une jolie duologie qui mérite d'être découverte. Même si ce second tome est légèrement en dessous du premier, les personnages étant un peu trop introspectifs, Georgia Caldera nous offre un univers comme elle sait si bien les façonner, sombre, onirique, mais toujours avec cette douceur qui caractérise autant son écriture.
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