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Critique de Latulu
En tant que premier violon de l'orchestre impériale, Céphise a vu son train de vie s'améliorer. La relation ambiguë qu'elle entretien avec Verlaine, l'Exécuteur du Dieu, évolue de façon surprenante. Heureusement, au loin, dans les bas-fonds de la cité, certains n'ont pas oublié le voeux de vengeance qu'ils avaient formulé.
Dans cet opus, j'ai apprécié le développement de la psychologie des personnages même si leurs actions restent à mon sens complètement incohérentes. J'ai de loin préféré les personnages secondaires qui avaient plus de consistance à mes yeux.
L'univers évolue et se fait de plus en plus onirique. La plume poétique de Georgia Caldera trouve son rythme et les flash-backs du duo Cephise-Verlaine lui permettent de belles envolées lyriques.
Les révélations s'enchaînent, l'autrice sait maintenir son public en haleine.
Pourtant, cette lecture s'est révélée d'un profond ennui.
La faute au couple principal auquel je n'arrive décidément pas à adhérer.
J'ai même trouvé notre héroïne parfaitement ridicule par moment.
Bref, je pense que je ne suis plus la cible pour ce genre de récit.
Dommage car l'univers créé par l'autrice est vraiment attirant. Elle magnifie le mélange végétal-acier et sait développer des ambiances propices à la rêverie et à l'émerveillement.
Avec des personnages au passé moins chargé et plus crédibles sur le thème de la romance cela aurait peut-être pu me faire vibrer au moins un peu.
Dans cet opus, j'ai apprécié le développement de la psychologie des personnages même si leurs actions restent à mon sens complètement incohérentes. J'ai de loin préféré les personnages secondaires qui avaient plus de consistance à mes yeux.
L'univers évolue et se fait de plus en plus onirique. La plume poétique de Georgia Caldera trouve son rythme et les flash-backs du duo Cephise-Verlaine lui permettent de belles envolées lyriques.
Les révélations s'enchaînent, l'autrice sait maintenir son public en haleine.
Pourtant, cette lecture s'est révélée d'un profond ennui.
La faute au couple principal auquel je n'arrive décidément pas à adhérer.
J'ai même trouvé notre héroïne parfaitement ridicule par moment.
Bref, je pense que je ne suis plus la cible pour ce genre de récit.
Dommage car l'univers créé par l'autrice est vraiment attirant. Elle magnifie le mélange végétal-acier et sait développer des ambiances propices à la rêverie et à l'émerveillement.
Avec des personnages au passé moins chargé et plus crédibles sur le thème de la romance cela aurait peut-être pu me faire vibrer au moins un peu.
