Une bande dessinée cyberpunk queer qui reflète bien le style foutraque de
Sabrina Calvo et ses thématiques habituelles, mais qui peine malheureusement à les mettre en valeur.
Sans rien enlever à la qualité des illustrations de
Jul Maroh, j'ai l'impression que l'oeuvre serait mieux passée en roman qu'en BD. Là, on a peine à suivre le fil de pensées des personnages, au point qu'on a du mal à s'y attacher et que leurs atermoiements finissent par nous perdre, voire nous agacer.
Dommage, parce que le fond m'intéressait beaucoup !
Commenter  J’apprécie         370