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Critique de caryatide


Ou " ce n'est pas à un vieux singe qu'on apprend à faire des grimaces".
Montalbano a une nouvelle voisine...Ravissante et souvent seule...La voila maintenant privée de voiture et, toujours poli, notre commissaire lui propose de la déposer tous les matins à Vigata. Elle lui manifesta alors une reconnaissance...éperdue.
Montalbano ne croit pas une seule seconde que son charme légendaire soit à l'origine de ce débordement d'enthousiasme. Que lui veut-on ? N'y-a-t-il qu'une seule actrice dans cette comédie ? A-t-elle un complice ? Qui et pourquoi ? Est-elle manipulée et elle même menacée ? Par qui ?
Méfiance, prudence sont les deux maîtres mots de notre héros...
Pendant ce temps des bombes explosent, devant des magasins vides, sans faire de victimes. Là encore, de quoi s'agit-il ? Des lettres anonymes circulent...
J'avoue avoir trainé un peu dans la première moitié du livre, mais la seconde m'a complètement réconciliée avec l'auteur. Il faut dire que le cahier des charges est parfaitement respecté, tout le personnel de commissariat avec notre cher Catarella, dont on voit une fois de plus qu'il peut se rendre utile si on ne lui confie pas de message à transmettre et Enzo et Adelina aux cuisines (qu'ils me donnent faim, ces deux là)
Et bien sûr la Sicile, la mer, la plage, les terres desséchées de l'intérieur..
Encore un très bon roman...
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