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Critique de lecturesdisa


« Je suis malade, malade de toi, je ne peux guérir de ton absence"
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. Il y a 61 ans, le 4 janvier 1960, disparaissait Albert Camus. C'est pour cela que ce soir je voulais vous présenter une oeuvre qui me fait vibrer: sa correspondance avec Maria Casarès. Un amour épistolaire conséquence de longues séparations où le doute, l'inquiétude, l'envie et la sérénité sont prégnants. Un amour qui ne se vit bien que quand il s'éprouve dans les mots (1300 pages de correspondance).
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. On peut lire cette correspondance de différente manière car elle est marquée par les différents épisodes de la vie littéraire et théâtrale que mènent Maria Casarès et Albert Camus.
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. Une correspondance magnifique qui m'a fait me poser mille questions comme le fait que Camus a dit d'emblée à Maria qu'il ne quitterait jamais sa femme "il y a des engagements qu'on ne veut pas rompre".
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. Une plume, une écriture, qui a vibré à l'unisson des coeurs. Magistral!
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