Ce roman confirme mon amour pour la littérature sud américaine, avec cette petite dose de surréalisme et de poésie. En lisant
Dans la ville des veuves intrépides, j'ai retrouvé ce que j'avais tant aimé dans
Cent ans de solitude de
Garcia Marquez, un village peuplé d'habitant attypique et très touchants où ils leur arrivent des choses parfois extraordinaires.
J'ai beaucoup aimé la construction du roman, où chaque chapitre met en avant une habitante et une anecdote du village. Les fins de chapitre sur les guérilleros, nous ramène à la réalité du monde et à l'horreur de la guerre, pour mieux repartir dans ce village fantastique.
C'est très intéressant qu'une telle histoire ai été écrite par un homme, aurait elle était différente si l'auteur avait été une femme?
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