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Critique de clockworkstar
"On a tendance à se concentrer sur les bas de l'existence, mais quand on les comparait aux hauts, on voyait bien que leur nombre était risible.
Approximativement, j'avais eu cinq bas dans l'année contre environ huit cents hauts. Certains appellent ça l'optimisme, je dirais plutôt qu'il s'agit de la face cachée de la vie."
Je pensais qu'après tant de lectures, poser des mots sur ce livre serait complexe. Pour autant mes mains courent actuellement sans difficultés aucune sur le clavier. Je lis ce livre quand je vais mal, quand j'ai besoin de réconfort, de me sentir à la maison. Oui ce livre est un endroit où je me sens chez moi et en sécurité. Ce livre est un de ceux qui me fait un bien fou, qui me réconforte à tel point que c'était là ma sixième relecture. Et que jamais je ne m'en lasse.
Il y a de ces livres qui sont des tornades, des ouragans qui vous emportent avec violence, faisant hurler votre âme. Et il y a ces livres qui semblent comme le calme avant, pendant et après la tempete. Ce calme où l'on est tant focalisé sur une seule chose qu'on en oublie tout le reste, qu'on délaisse ce qui nous entoure. Il y a ces livres qui vous font pleurer de frustration et ceux où vous pleurez de joie et de reconnaisance, car vous voulez remercier l'auteurice dans toutes les langues de cette planète. Il y a les livres qui font mal et ceux qui réparent. Dans tout ces duos, ce livre se trouve être le deuxième.
Car il y a ici un roman où je pleure de soulagement et de reconnaisance. Un roman que je veux remercier pour ce qu'il m'a fait. Car Priam grandit et s'accepte. Car il s'agit ici de la reconnaissance de soi, de la compréhension de soi aussi peut-être. Car il y a ces romans qui vous marquent, dont la plume vous emporte. Ces romans que vous aimeriez ne jamais refermer. Car pendant cette lecture plus que dans toutes les précédentes encore, je me suis ressentie dans Priam, car je suis tombée aùoureuse de lui, mais aussi de Georges, de Charlotte, de Gabrielle, de Thibaut, d'Eliott àà qui j'en veux pourtant. Car j'ai pleuré tant de larmes devant certaines pages mais ris et souris bien plus de fois encore.
Ce livre est un de ceux qui vous marque à vie. Un de ceux que je n'enlèverai plus jamais de ma bibliothèque, tant l'envie de le relire est parfois si présente. Cra Georges et Priam ont cette saveur si particulière qui me fait me sentir à la maison. Un roman magnifique et une histoire sublime.
Approximativement, j'avais eu cinq bas dans l'année contre environ huit cents hauts. Certains appellent ça l'optimisme, je dirais plutôt qu'il s'agit de la face cachée de la vie."
Je pensais qu'après tant de lectures, poser des mots sur ce livre serait complexe. Pour autant mes mains courent actuellement sans difficultés aucune sur le clavier. Je lis ce livre quand je vais mal, quand j'ai besoin de réconfort, de me sentir à la maison. Oui ce livre est un endroit où je me sens chez moi et en sécurité. Ce livre est un de ceux qui me fait un bien fou, qui me réconforte à tel point que c'était là ma sixième relecture. Et que jamais je ne m'en lasse.
Il y a de ces livres qui sont des tornades, des ouragans qui vous emportent avec violence, faisant hurler votre âme. Et il y a ces livres qui semblent comme le calme avant, pendant et après la tempete. Ce calme où l'on est tant focalisé sur une seule chose qu'on en oublie tout le reste, qu'on délaisse ce qui nous entoure. Il y a ces livres qui vous font pleurer de frustration et ceux où vous pleurez de joie et de reconnaisance, car vous voulez remercier l'auteurice dans toutes les langues de cette planète. Il y a les livres qui font mal et ceux qui réparent. Dans tout ces duos, ce livre se trouve être le deuxième.
Car il y a ici un roman où je pleure de soulagement et de reconnaisance. Un roman que je veux remercier pour ce qu'il m'a fait. Car Priam grandit et s'accepte. Car il s'agit ici de la reconnaissance de soi, de la compréhension de soi aussi peut-être. Car il y a ces romans qui vous marquent, dont la plume vous emporte. Ces romans que vous aimeriez ne jamais refermer. Car pendant cette lecture plus que dans toutes les précédentes encore, je me suis ressentie dans Priam, car je suis tombée aùoureuse de lui, mais aussi de Georges, de Charlotte, de Gabrielle, de Thibaut, d'Eliott àà qui j'en veux pourtant. Car j'ai pleuré tant de larmes devant certaines pages mais ris et souris bien plus de fois encore.
Ce livre est un de ceux qui vous marque à vie. Un de ceux que je n'enlèverai plus jamais de ma bibliothèque, tant l'envie de le relire est parfois si présente. Cra Georges et Priam ont cette saveur si particulière qui me fait me sentir à la maison. Un roman magnifique et une histoire sublime.
