Les sources décrivant ces guerres font pour la première fois apparaître des valeurs parmi les guerriers de l'est du pays : la fierté de l'homme d'arme, la solidarité dans l'épreuve et la souffrance, l'héroïsme, la loyauté, le courage, la fidélité au général, le refus de fuir, des formes de désintérêt qui se manifestaient notamment dans une certaine beauté du geste. C'est ainsi que naquit la " voie de l'Arc et du Cheval " qui sera systématisée au XVIè siècle en " voie du Guerrier " (Bushidô).