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Critique de jeandubus
Léon et Louise
On ressent un certain vertige devant tous les livres qu'on n'a pas lus. Par exemple à la fin d'un roman, tous ces titres récemment parus dans la collection, dont ne connait rien du propos ou de l'auteur.
Le choix est donc autant guidé par la critique que par le hasard qui vous conduit à la librairie du quartier ou de la ville, pour flâner entre les tables et parcourir les quatrièmes, sentir la « main » du papier et se laisser séduire.
Léon est Louise, je l'ai choisi parce que c'était une invitation coup de coeur de la librairie « Tropiques » à Paris et aussi parce que le nom de l'auteur ressemble en plus court à celui d'un de mes amis.
Bien m'en a pris.
Léon rencontre Louise, ils ont dix-huit ans. On est en 1918 en Seine et Oise, 78. Entre eux nait un amour sincère et au-dessus du temps.
L'histoire, les deux guerres mondiales ne sauront pas séparer ces deux-là, même s'ils mènent des vies parallèles et singulièrement heureuses. Dans la conjugalité et la famille pour Léon, dans la liberté et une certaine insouciance pour Louise.
On découvre le Paris d'autrefois, (celui de mon grand-père en fait) et le parfum de la capitale alterné avec celui de la France rurale . Parfums dissous aujourd'hui dans la grande foire consumériste du nouveau siècle.
Beaucoup de fraicheur et de sentiments simples et justes dans ce récit qui s'achève sur un espoir rassérénant alors qu'il débute par un enterrement.
Ce roman est très bien écrit et bien traduit, je vous en conseille la lecture.
On ressent un certain vertige devant tous les livres qu'on n'a pas lus. Par exemple à la fin d'un roman, tous ces titres récemment parus dans la collection, dont ne connait rien du propos ou de l'auteur.
Le choix est donc autant guidé par la critique que par le hasard qui vous conduit à la librairie du quartier ou de la ville, pour flâner entre les tables et parcourir les quatrièmes, sentir la « main » du papier et se laisser séduire.
Léon est Louise, je l'ai choisi parce que c'était une invitation coup de coeur de la librairie « Tropiques » à Paris et aussi parce que le nom de l'auteur ressemble en plus court à celui d'un de mes amis.
Bien m'en a pris.
Léon rencontre Louise, ils ont dix-huit ans. On est en 1918 en Seine et Oise, 78. Entre eux nait un amour sincère et au-dessus du temps.
L'histoire, les deux guerres mondiales ne sauront pas séparer ces deux-là, même s'ils mènent des vies parallèles et singulièrement heureuses. Dans la conjugalité et la famille pour Léon, dans la liberté et une certaine insouciance pour Louise.
On découvre le Paris d'autrefois, (celui de mon grand-père en fait) et le parfum de la capitale alterné avec celui de la France rurale . Parfums dissous aujourd'hui dans la grande foire consumériste du nouveau siècle.
Beaucoup de fraicheur et de sentiments simples et justes dans ce récit qui s'achève sur un espoir rassérénant alors qu'il débute par un enterrement.
Ce roman est très bien écrit et bien traduit, je vous en conseille la lecture.
