Quel épouvantable livre! Une horreur absolue, où la psychologie de comptoir à deux centimes d'euro le dispute à l'incohérence puisque d'une page à l'autre Caratini se contredit. Ce n'est pas dans ses lignes brouillonnes que l'on peut se faire une idée juste de ce qu'a été le principat du dernier Julio Claudien. Et ce mauvais exemple me conforte dans l'idée qu'un bon roman historique vaut toujours mieux qu'un mauvais essai. Ici, on peut sans hésitation préférer les deux tomes que la romancière
Margaret George a consacrés à Néron.
J'octroie une demi étoile à ce désastre, uniquement pour donner quelque chance à ma critique d'être visible, et éviter ainsi une déception au potentiel lecteur qui voudra bien me faire confiance, mais franchement, ce livre ne vaut pas le papier sur lequel il a été imprimé.
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