J'ai offert ce livre à mon papa originaire du centre Bretagne, même âge, même époque qu'Auguste. Les taloches en moins bienheureusement, il s'est reconnu dans cette vie d'enfant de la campagne, le travail à la ferme, les jeux, les combines, la peur de l'occupant, les croyances, les ignorances et les coutumes. Ce roman de
Daniel Cario, plein d'humour, de dérision, de poésie se lit avec un grand plaisir. J'ai aimé les rapports humains, la psychologie des personnages où se mêlent ignorance et bienveillance. de mon avis il y a du
Bernard Clavel dans
Daniel Cario.
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