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Critique de Pois0n
Calendar Girl, c'est un peu la série dont on n'attendait pas grand-chose mais qui, jusqu'à présent, s'est plutôt révélée être une bonne surprise. Hélas, vous en conviendrez, il est difficile pour n'importe quel auteur de maintenir un rythme et une qualité constante sur un nombre de tomes aussi important. Eh bien, n'y allons pas par quatre chemins : le mois de Juin est tout simplement le moins inspiré, et le second moins bon après le premier.
Est-ce parce que Mia semble d'emblée rabibochée avec Wes, alors que dans le tome précédent, c'était tout juste si elle voulait encore entendre parler de lui ? Il va falloir faire avec, c'est Monsieur Insip... Janvier qui fait battre le coeur d'artichaut de notre escort préférée.
Est-ce à cause d'une redondance globale ? Niveau intrigue, Mia joue de nouveau les entremetteuses, moins de deux mois après la fois précédente, sachant que jusqu'à présent, aucun de ses clients n'avait eu le même problème qu'un autre. Ici, Warren et Kathleen ne sont que la version senior de Mason et Rachel. Niveau sexe, même constat : on a déjà eu droit au sexe par téléphone et même si le tout reste bien écrit, le sentiment de déjà-vu se fait sentir. Est-ce parce qu'au début de ce tome, Mia se montre particulièrement odieuse et impolie, à tel point qu'on peine à la reconnaître et qu'on a juste envie de lui coller des baffes ? Ou bien parce que tout ça se montre sacrément creux jusqu'au dernier quart du livre ? Probablement un peu de tout ça.
Mais reste le fameux dernier quart du livre, avec un évènement que l'on n'avait pas vu venir. J'ai beaucoup aimé la façon dont Audrey Carlan a géré la situation. Sans tomber dans le pathos, mais sans épargner Mia non plus. Celle-ci ne se remet pas d'un claquement de doigts, et l'on sent qu'une certaine décision lui coûte. Heureusement, on peut compter sur certaines têtes connues pour prendre soin d'elle.
Grâce à sa conclusion plus sérieuse et dramatique, Juin n'est donc pas un naufrage complet. Néanmoins, on espère que le tome 7 saura redresser la barre...
Est-ce parce que Mia semble d'emblée rabibochée avec Wes, alors que dans le tome précédent, c'était tout juste si elle voulait encore entendre parler de lui ? Il va falloir faire avec, c'est Monsieur Insip... Janvier qui fait battre le coeur d'artichaut de notre escort préférée.
Est-ce à cause d'une redondance globale ? Niveau intrigue, Mia joue de nouveau les entremetteuses, moins de deux mois après la fois précédente, sachant que jusqu'à présent, aucun de ses clients n'avait eu le même problème qu'un autre. Ici, Warren et Kathleen ne sont que la version senior de Mason et Rachel. Niveau sexe, même constat : on a déjà eu droit au sexe par téléphone et même si le tout reste bien écrit, le sentiment de déjà-vu se fait sentir. Est-ce parce qu'au début de ce tome, Mia se montre particulièrement odieuse et impolie, à tel point qu'on peine à la reconnaître et qu'on a juste envie de lui coller des baffes ? Ou bien parce que tout ça se montre sacrément creux jusqu'au dernier quart du livre ? Probablement un peu de tout ça.
Mais reste le fameux dernier quart du livre, avec un évènement que l'on n'avait pas vu venir. J'ai beaucoup aimé la façon dont Audrey Carlan a géré la situation. Sans tomber dans le pathos, mais sans épargner Mia non plus. Celle-ci ne se remet pas d'un claquement de doigts, et l'on sent qu'une certaine décision lui coûte. Heureusement, on peut compter sur certaines têtes connues pour prendre soin d'elle.
Grâce à sa conclusion plus sérieuse et dramatique, Juin n'est donc pas un naufrage complet. Néanmoins, on espère que le tome 7 saura redresser la barre...
