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Critique de VIVI29
N est un proiet collectif de littérature de genre, populaire, à la marge
N n'appartient à personne.
Chaque auteur propose un texte.
Des récits courts, noirs, transgressifs, dérangeants, qui interrogent.
Un Fantômas actuel qui aurait bouffé du
Poulpe enragé.
Personne ne connaît son nom ni son visage, ni son sexe.
Son nom fait trembler toutes les polices,
Les puissants le redoutent.
N est l'ennemi public numéro 1.
Depuis le départ de son chef, son unique pare-feu au sein de la première division de la police métropolitaine, Hayato Ishida est isolé, craint, jalousé. Sans lui, le taux de résolution de son unité s'effondrerait. Hayato ne comprend pas pourquoi on lui reproche de le dire ouvertement ! Il sait bien que son grade pose problème. Il faut dire aussi que son look d'ado rebelle détonne de son statut de flic.
Tokyo, black-out total. N a réussi à parasiter les écrans de la mégalopole. C'est le chaos dans le pays.
Hayato Ishida ne doute pas du sérieux de la menace. Pour stopper le dispositif installé qui parasite toute communication, N donne à la population une énigme à résoudre.
Hayato, armé de toute sa logique, se met au travail pour résoudre cette énigme.
Cyril Carrère parvient en à peine quelques pages à nous captiver dans cette courte nouvelle qui va à l'essentiel et se déroule deux ans après son titre « Le glas de l'innocence ». Il reprend ici le personnage principal, Hayato Ishida, de ce précédent titre.
C'est un court récit qui intrigue et interroge et qui me laisse supposer que l'on pourrait bien retrouver notre héros dans le prochain titre qui sortira en mars prochain aux éditions @denoel 😇
Je ne connaissais pas ce projet collectif, je serais curieuse de découvrir d'autres textes des auteurs y ayant participé.
N n'appartient à personne.
Chaque auteur propose un texte.
Des récits courts, noirs, transgressifs, dérangeants, qui interrogent.
Un Fantômas actuel qui aurait bouffé du
Poulpe enragé.
Personne ne connaît son nom ni son visage, ni son sexe.
Son nom fait trembler toutes les polices,
Les puissants le redoutent.
N est l'ennemi public numéro 1.
Depuis le départ de son chef, son unique pare-feu au sein de la première division de la police métropolitaine, Hayato Ishida est isolé, craint, jalousé. Sans lui, le taux de résolution de son unité s'effondrerait. Hayato ne comprend pas pourquoi on lui reproche de le dire ouvertement ! Il sait bien que son grade pose problème. Il faut dire aussi que son look d'ado rebelle détonne de son statut de flic.
Tokyo, black-out total. N a réussi à parasiter les écrans de la mégalopole. C'est le chaos dans le pays.
Hayato Ishida ne doute pas du sérieux de la menace. Pour stopper le dispositif installé qui parasite toute communication, N donne à la population une énigme à résoudre.
Hayato, armé de toute sa logique, se met au travail pour résoudre cette énigme.
Cyril Carrère parvient en à peine quelques pages à nous captiver dans cette courte nouvelle qui va à l'essentiel et se déroule deux ans après son titre « Le glas de l'innocence ». Il reprend ici le personnage principal, Hayato Ishida, de ce précédent titre.
C'est un court récit qui intrigue et interroge et qui me laisse supposer que l'on pourrait bien retrouver notre héros dans le prochain titre qui sortira en mars prochain aux éditions @denoel 😇
Je ne connaissais pas ce projet collectif, je serais curieuse de découvrir d'autres textes des auteurs y ayant participé.
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