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Critique de samlor


Cela fait plusieurs tomes que je me fais la réflexion que le début est assez lent. Qu'à cela ne tienne. Si je ne peux me régaler avec de l'action, je le fais avec le personnage d'Alexia, qui m'a fait me tordre de rire. J'adore tout particulièrement la manière qu'elle a de vivre son désagrément embryonnaire. C'est absolument unique. Elle se donne elle-même tous les qualificatifs les plus imaginatifs sans aucun problème. Unique, vraiment unique.

En parallèle, son déménagement offre au lecteur toute une panelle de situations particulièrement croquantes, entre les drônes de lord Akeldama, Akeldama lui-même et les loups-garous de Woolsey particulièrement bougons. La pleine-lune approche, il faut les comprendre.

Comment ne pas s'attacher encore plus à lord Akeldama et à ce cher Biffy qui trouvera une place très intéressante mais surtout innattendue au sein de la meute. A ne pas oublier Lyall, qu'on connaît alors davantage, Channing, toujours aussi agaçant, Félicité qui (non non, je vais la laisser tranquille. Je pense que Camille se chargera de son cas dans sa chronique), et aussi, Mme Lefoux, qui est très étrange tout le long du livre. Je ne veux pas oublier Conall, qui est très attendrissant dans ce tome. Et puis ce club au nom impossible...

J'avoue quand même avoir eu un peu de peine à plusieurs endroits concernant la traduction. Rien de bien grave, c'est la 1ère fois que je ressens ceci avec la saga.

Et puis, si comme je le disais, le début est assez tranquille, vous devriez voir la fin. Une vitesse incroyable, tout se passe très vite, l'humour est toujours là, l'émotion aussi. Ah ce fichu désagrément embryonnaire.... bien décidé à jouer de sales tours à Alexia.

Bref, il y a matière à rire et à s'amuser. Une fin géniale, originale et à laquelle je ne m'étais pas du tout attendue.
Lien : http://samlor-en-livre.eklab..
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