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Critique de umezzu


La ville éternelle va t-elle disparaître : des pluies continues ont provoqué l'arrêt d'une centrale électrique, et, par contre-coup une surtension, qui oblige les autorités à décréter un black-out. Depuis des siècles, suivant une bulle papale de Léon X, Rome doit pourtant être éclairée la nuit. Cette disparition de l'électricité permet aux êtres les plus violents de se laisser aller à leurs pires penchants dans une relative impunité, la police est débordée.
Le frère pénitencier Marcus, qui vient d'échapper à une mort atroce, est convoqué chez le cardinal Erriaga, avocat du diable auprès du tribunal des âmes. Un évêque est mort d'une façon obscène au sein même du Vatican. L'horreur commence. Elle implique une secte : l'Église de l'Éclipse.
La route de Marcus va croiser celle de son amie policière Sandra, et d'un étrange inspecteur de police : Vitali.

Donato Carrisi n'hésite pas grand à pousser la situation au maximum dans ce roman. Horreur absolue des crimes. Désarroi des hommes. Perte de repères et de mémoire. Rome part vers sa fin.
Pendant longtemps l'ouvrage tient du fantastique total, un brin écoeurant. Carrisi soigne toutefois son final.

Difficile de dire au final, si l'ouvrage a plu ou si les excès du romancier l'emportent sur son récit. Un sentiment mitigé.
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