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Critique de Gaoulette
Tout d'abord une grand merci à Pat Pepette pour m'avoir offert et conseillé ce livre et à Maribel de m'avoir parlé de cet auteur bourré de talent. J'ai lu ce livre dans le cadre du challenge Multi défi 2016.
L'histoire commence dans le vif du sujet. Lena maman d'une fillette Ana de 6 mois se réveille un matin et se rend compte que son enfant a disparu. Alors arrivent ces eternelles questions comme dans tout thriller psychologique : pourquoi cette famille, est-ce personnel ou que pour la rançon, va t'on retrouver Ana saine et sauve, qui est le coupable....
Dans ce roman , le kidnappeur est mis en avant dans le 3/4 du roman, chose pas courante et Nicolas Carteron rend attendrissant le méchant. En fait je me suis retrouvée à sourire sur certains passages. L'auteur nous plonge au fur et mesure que le present avance dans le passé pour répondre à nos questions. Je l'ai trouvé brillant dans cette narration car on avance doucement mais surement. L'auteur nous donne des certitudes et on espère juste l'happy end. Et puis un moment j'ai été prise au dépourvue. Je me suis même dit j'ai loupé un passage c'est possible. J'ai relue cette page 3 fois en me disant il doit avoir un problème d'impression. Chapeau et félication Nicolas Carteron pour ce tour de maitre. Et l'histoire aprés cette révélation, j'ai ressentie comme un hymne à l'amour. Pour ne pas trop spoiler, j'ai eu du mal à avoir de l'empathie pour Léna aprés les révélations.
Cette découverte est une agréable surprise, je comprends un peu mieux pourquoi on le compare à Musso. Il est doué pour nous donner des certitudes et nous jeter une bombe pour nous retourner comme une crèpe. C'est une écriture comme je les aime, douce, légère, moderne, et tout en subtilité, avec un zest d'émotion qui nous embarque.
J'ai deux autres romans de Nicolas Carteron que je vais lire avec grand plaisir surtout si sa plume est aussi douée que dans son roman. Un doux coup de coeur pour moi.
L'histoire commence dans le vif du sujet. Lena maman d'une fillette Ana de 6 mois se réveille un matin et se rend compte que son enfant a disparu. Alors arrivent ces eternelles questions comme dans tout thriller psychologique : pourquoi cette famille, est-ce personnel ou que pour la rançon, va t'on retrouver Ana saine et sauve, qui est le coupable....
Dans ce roman , le kidnappeur est mis en avant dans le 3/4 du roman, chose pas courante et Nicolas Carteron rend attendrissant le méchant. En fait je me suis retrouvée à sourire sur certains passages. L'auteur nous plonge au fur et mesure que le present avance dans le passé pour répondre à nos questions. Je l'ai trouvé brillant dans cette narration car on avance doucement mais surement. L'auteur nous donne des certitudes et on espère juste l'happy end. Et puis un moment j'ai été prise au dépourvue. Je me suis même dit j'ai loupé un passage c'est possible. J'ai relue cette page 3 fois en me disant il doit avoir un problème d'impression. Chapeau et félication Nicolas Carteron pour ce tour de maitre. Et l'histoire aprés cette révélation, j'ai ressentie comme un hymne à l'amour. Pour ne pas trop spoiler, j'ai eu du mal à avoir de l'empathie pour Léna aprés les révélations.
Cette découverte est une agréable surprise, je comprends un peu mieux pourquoi on le compare à Musso. Il est doué pour nous donner des certitudes et nous jeter une bombe pour nous retourner comme une crèpe. C'est une écriture comme je les aime, douce, légère, moderne, et tout en subtilité, avec un zest d'émotion qui nous embarque.
J'ai deux autres romans de Nicolas Carteron que je vais lire avec grand plaisir surtout si sa plume est aussi douée que dans son roman. Un doux coup de coeur pour moi.
