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Critique de AlineMarieP
La guerre de Troie aura bien lieu...
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Mais avant me rapt de la belle Hélène, le cheval d'Ulysse aux mille ruses et la fuite d'Ascagne, il s'en est passé des choses. En se basant sur des textes classiques (cités en fin d'ouvrage pour les curieux et curieuses), Marine Carteron nous propose d'arpenter la cité des Dardanides une cinquantaine d'années avant sa chute en donnant une belle place aux femmes notamment à Hésione, la fille du roi Laomédon et future gardienne de l'un des secrets les mieux garder : le palladion. En effet, l'autrice des "Autodafeurs" ne gomme pas l'aspect mythologique et laisse les dieux et les déesses exprimer toutes leurs qualités et surtout leurs défauts. Elle utilise pour ça la figure de Pallas pour donner un angle inédit à cette légende qui ne finit pas de nous fasciner...
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Les premières pages de ce roman, j'ai essayé de mobiliser tous mes souvenirs greco-latins. 4 ans de grec, 10 ans de latin, ça laisse des traces, autres que de saouler +1 avec "Oh tu as vu les couleurs de ce fragment de vase" dans n'importe quel musée. J'avais du mal à me concentrer. Avant de me dire que les ados n'ont pas fait nécessairement du grec, pour eux ce ne sera "que" des personnages de fiction qu'ils vont appréhender comme dans n'importe quel bouquin de fantasy. C'est comme ça qu'il faut le lire. A partir de là, ma lecture a coulé toute seule et n'a fait que me réjouir !
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Je ne dirai jamais assez à quel point j'aime la collection Epik, Olivier Pillé a vraiment su créer un catalogue d'exception créatif et original. En s'associant à nouveau avec Marine Carteron, la belle collection s'offre une trilogie (qui sortira en moins de deux ans, pas de longue attente) passionnante, inteligente, intemporelle et totalement actuelle. Il n'est pas non plus exclus que cela vous (re)donne envie de lire les classiques (en tout cas je vais ressortir mon exemplaire de l'Iliade).
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Mais avant me rapt de la belle Hélène, le cheval d'Ulysse aux mille ruses et la fuite d'Ascagne, il s'en est passé des choses. En se basant sur des textes classiques (cités en fin d'ouvrage pour les curieux et curieuses), Marine Carteron nous propose d'arpenter la cité des Dardanides une cinquantaine d'années avant sa chute en donnant une belle place aux femmes notamment à Hésione, la fille du roi Laomédon et future gardienne de l'un des secrets les mieux garder : le palladion. En effet, l'autrice des "Autodafeurs" ne gomme pas l'aspect mythologique et laisse les dieux et les déesses exprimer toutes leurs qualités et surtout leurs défauts. Elle utilise pour ça la figure de Pallas pour donner un angle inédit à cette légende qui ne finit pas de nous fasciner...
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Les premières pages de ce roman, j'ai essayé de mobiliser tous mes souvenirs greco-latins. 4 ans de grec, 10 ans de latin, ça laisse des traces, autres que de saouler +1 avec "Oh tu as vu les couleurs de ce fragment de vase" dans n'importe quel musée. J'avais du mal à me concentrer. Avant de me dire que les ados n'ont pas fait nécessairement du grec, pour eux ce ne sera "que" des personnages de fiction qu'ils vont appréhender comme dans n'importe quel bouquin de fantasy. C'est comme ça qu'il faut le lire. A partir de là, ma lecture a coulé toute seule et n'a fait que me réjouir !
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Je ne dirai jamais assez à quel point j'aime la collection Epik, Olivier Pillé a vraiment su créer un catalogue d'exception créatif et original. En s'associant à nouveau avec Marine Carteron, la belle collection s'offre une trilogie (qui sortira en moins de deux ans, pas de longue attente) passionnante, inteligente, intemporelle et totalement actuelle. Il n'est pas non plus exclus que cela vous (re)donne envie de lire les classiques (en tout cas je vais ressortir mon exemplaire de l'Iliade).
