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Critique de Laulette
C'est mon amie @leslecturesdejuliette qui m'a donné envie de découvrir La petite fille sous la neige. Nous étions en vacances ensemble lorsqu'elle l'a lu et la voir si captivée par le roman m'a poussée à le découvrir à mon tour !
Nous sommes à New-York, le 26 novembre 1998, lorsque Kiera, 3 ans, disparaît à la suite d'un mouvement de foule lors de la parade de Thanksgiving. Tout le monde se met à sa recherche, la police de la ville entière est mobilisée. Mais les heures passent et Kiera reste introuvable. L'affaire fait la une des journeaux et Miren, une étudiante en journalisme, en fait une affaire personnelle. Elle se promet de retrouver Kiera.
Dès les premières pages, j'ai été captivée par l'enquête. le rythme est haletant car nous changeons de point de vue et d'époque à chaque chapitre. Nous découvrons des éléments avant les personnages grâce à ces allers-retours entre les différentes temporalités. Cette construction a rendu ma lecture complètement addictive car j'avais l'impression de faire moi aussi partie de l'enquête. Il n'y a aucun temps mort, aucun répit, c'était une vraie torture de devoir reposer le roman !
La construction nous permet également d'être au plus proche des différents personnages. Je me suis beaucoup attachée à Miren. Son histoire m'a touchée et je l'ai trouvée extrêmement résiliente. J'ai également apprécié la suivre dans son travail de journaliste. Son approche m'a convaincue : loin de vouloir faire du sensationnel, Miren a à coeur de découvrir la vérité et de retrouver Kiera. Enfin, les parents de cette petite m'ont forcément émue. Ce qu'ils vivent est l'une des pires choses auxquelles on peut être confrontés en tant que parents. Nous sommes confrontés à leur chagrin, leur désespoir. C'est bouleversant !
La plume de Javier Castillo est définitivement l'un des gros points forts du roman. C'est vif et captivant, on ne s'ennuie pas une seule seconde dans cette course pour retrouver Kiera. La petite fille sous la neige est un coup de coeur pour moi, ça faisait un moment que je n'avais pas été si passionnée par une histoire. Vivement le prochain roman de l'auteur !
Nous sommes à New-York, le 26 novembre 1998, lorsque Kiera, 3 ans, disparaît à la suite d'un mouvement de foule lors de la parade de Thanksgiving. Tout le monde se met à sa recherche, la police de la ville entière est mobilisée. Mais les heures passent et Kiera reste introuvable. L'affaire fait la une des journeaux et Miren, une étudiante en journalisme, en fait une affaire personnelle. Elle se promet de retrouver Kiera.
Dès les premières pages, j'ai été captivée par l'enquête. le rythme est haletant car nous changeons de point de vue et d'époque à chaque chapitre. Nous découvrons des éléments avant les personnages grâce à ces allers-retours entre les différentes temporalités. Cette construction a rendu ma lecture complètement addictive car j'avais l'impression de faire moi aussi partie de l'enquête. Il n'y a aucun temps mort, aucun répit, c'était une vraie torture de devoir reposer le roman !
La construction nous permet également d'être au plus proche des différents personnages. Je me suis beaucoup attachée à Miren. Son histoire m'a touchée et je l'ai trouvée extrêmement résiliente. J'ai également apprécié la suivre dans son travail de journaliste. Son approche m'a convaincue : loin de vouloir faire du sensationnel, Miren a à coeur de découvrir la vérité et de retrouver Kiera. Enfin, les parents de cette petite m'ont forcément émue. Ce qu'ils vivent est l'une des pires choses auxquelles on peut être confrontés en tant que parents. Nous sommes confrontés à leur chagrin, leur désespoir. C'est bouleversant !
La plume de Javier Castillo est définitivement l'un des gros points forts du roman. C'est vif et captivant, on ne s'ennuie pas une seule seconde dans cette course pour retrouver Kiera. La petite fille sous la neige est un coup de coeur pour moi, ça faisait un moment que je n'avais pas été si passionnée par une histoire. Vivement le prochain roman de l'auteur !
