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Critique de Henri-l-oiseleur


Cavafy, quand il se dégage des mollesses fin-de-siècle de certains de ses poèmes d'amour, atteint le sommet de son inspiration dans la plus grande impersonnalité. Il délaisse alors les garçons alexandrins ou les élégies faciles sur le temps qui passe et la vieillesse qui vient, pour laisser parler d'autres personnes, d'autres voix, venues de tous les temps de la Grèce. Quand Ulysse, Anne Comnène et d'autres prennent la parole à travers le poète medium, un autre lyrisme se fait entendre, au-delà des limites de la personne.
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