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Critique de soleil23



La Dame de Toscane est un roman envoûtant.
Je l'ai commencé en pensant ne lire que quelques pages car il faisait tard déjà mais prise dans les filets magiques des mots, je n'ai pas pu le lâcher.
Mais qui est donc David Tewp ? Un homme qui nous fait voyager mais il n'est pas le seul car tous les personnages de cette histoire n'arrêtent pas de bouger, de Londres à Paris, d'Istanbul à Moscou, de Calcutta à New York. Avec eux le monde est vraiment petit.

Cette lecture suscite, du début à la fin, des réflexions sur le Bien et le Mal. Dans la dernière partie du « Siècle des chimères » (j'ai su trop tard que c'était le dernier tome d'une série), l'auteur résume les livres précédents d'une manière si subtile que l'on ne sent même pas la coupure.

Les descendants des Galjero nous entrainent dans des aventures sans fin et nous dévoilent tour à tour des mystères incroyables. Par ailleurs, je dois reconnaître que, pour une fois, je ne me suis pas sentie déstabilisée par le nombre croissant de protagonistes (Alessia, Mose, Yohav, Nhuwwas, Monti, Mme Garance, Alantova etc…) car chacun a un temps à faire et une mission à remplir, seule une femme reste : Laüme la maléfique me glace le sang. Tantôt nymphe tantôt démone, rien ne l'arrête. le fantastique mêlé à l'Histoire rend ce roman fascinant. Dalibor, le dernier de la lignée maudite est initié à la magie, au Mal le plus obscur (j'ai sauté quelques passages trop…). A la fin, je suis presque soulagée de voir que ce roman n'est que le fruit de l'imagination d'un auteur de génie. Un instant après, je frémis à l'idée que de telles atrocités soient vraiment commises. le Mal est bien ancré dans ce monde depuis la nuit des temps.


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