Traduit de l'espagnol par Alexandar Grujicic et
Karine Louesdon
Ce deuxième tome de la vie de Melchor m'a moins passionnée que le précédent.
En effet, la vie politique, économique y est décortiquée, analysée, critiquée. Et je ne connais rien de cette vie là. Mis à part, bien sûr, celle des enfants des petits bourges qui se croient au-dessus des lois. Car je crois que cela est universel. L'argent, c'est le pouvoir et le pouvoir, et bien, souvent, ça pourrit tout.
Par contre, je suis toujours très attachée à Melchor que je trouve très humain, dans le bon sens du terme.
Bonne lecture.
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