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Critique de Sachenka
La cité ensevelie est la deuxième partie de deux tomes racontant les aventures de Vasco Baglioni à Naples. le commis-banquier siennois y avait été appelé par son ami d'enfance, Niccolo dell'Aquila, pour l'aider à collecter les impôts pour la reine Jeanne alors que la peste et la misère ont laissé la vide exsangue. Difficile, le moyen âge. Pas facile non plus pour Rousseau, qui a fait de beaux efforts en se substituant au regretté Gilles Chaillet pour compléter sa série de bande dessinée.
Dans l'ensemble, j'ai plutôt apprécié. Je ne l'écris pas avec beaucoup d'enthousiasme mais n'importe quelle aventure de Vasco, même pauvrement adapté, fera de moi un adepte. Dans ce vingt-sixième tome, tout déboule, l'action et l'intrigue. La collecte des impôts va bon train, les récalcitrants sont punis, la population se venge, les complots sont mis à jour, et même le Vésuve fait des siennes. Tout va peut-être un peu trop rapidement, ceci dit, ce rythme effréné semble convenir à l'histoire.
Mais tout ne m'a pas plu… Les personnages me semblent assez unidimensionnels. Fort heureusement, ils ont des secrets et des agendas un peu plus difficiles à cerner. Mais c'est en partie gâché parce que, même à la toute fin, ils ne sont pas tous dévoilés. le lectuer ne peut que se laisser aller à des suppositions. Par exemple, pourquoi Niccolo a subtilisé les sceaux de la reine Jeanne ? Et puis, qu'advienne-t-il de cette reine par la suite ? J'aime bien les mystères, surtout s'ils ouvrent la voie à des aventures ultérieures mais je doute que Vasco retourne à Naples. Ces mystères resteront donc inexpliqués.
Dans ma critique du tome précédent, je me montrais sévère – un peu trop ? – à l'endroit des dessins de Rousseau. Je m'y suis habitué. Et je dois saluer son effort à essayer de rester fidèle au style de Gilles Chaillet. Entre autres, par son souci des détails et par des plans variés, comme les cases allongées à l'horizontale donnant une vue d'ensemble aux paysages. Donc, au prochain tome…
Dans l'ensemble, j'ai plutôt apprécié. Je ne l'écris pas avec beaucoup d'enthousiasme mais n'importe quelle aventure de Vasco, même pauvrement adapté, fera de moi un adepte. Dans ce vingt-sixième tome, tout déboule, l'action et l'intrigue. La collecte des impôts va bon train, les récalcitrants sont punis, la population se venge, les complots sont mis à jour, et même le Vésuve fait des siennes. Tout va peut-être un peu trop rapidement, ceci dit, ce rythme effréné semble convenir à l'histoire.
Mais tout ne m'a pas plu… Les personnages me semblent assez unidimensionnels. Fort heureusement, ils ont des secrets et des agendas un peu plus difficiles à cerner. Mais c'est en partie gâché parce que, même à la toute fin, ils ne sont pas tous dévoilés. le lectuer ne peut que se laisser aller à des suppositions. Par exemple, pourquoi Niccolo a subtilisé les sceaux de la reine Jeanne ? Et puis, qu'advienne-t-il de cette reine par la suite ? J'aime bien les mystères, surtout s'ils ouvrent la voie à des aventures ultérieures mais je doute que Vasco retourne à Naples. Ces mystères resteront donc inexpliqués.
Dans ma critique du tome précédent, je me montrais sévère – un peu trop ? – à l'endroit des dessins de Rousseau. Je m'y suis habitué. Et je dois saluer son effort à essayer de rester fidèle au style de Gilles Chaillet. Entre autres, par son souci des détails et par des plans variés, comme les cases allongées à l'horizontale donnant une vue d'ensemble aux paysages. Donc, au prochain tome…
