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Critique de theannashaw
Parce qu'après trois tomes j'étais totalement accro à Cerise, la plus adorable et sensible apprentie écrivain/jeune détective de l'histoire de la bande dessinée. Et parce qu'il aurait été idiot de lire trois des quatre volumes actuellement disponibles et de m'arrêter là, j'ai acquit et dévoré La Déesse sans visage, quatrième tome des Carnets de Cerise.
Nous y retrouvons la jeune fille après un Noël riche en réflexion, en vacances avec sa maman pour participer à une immense murder party dans un manoir qui renferme plus de secrets que prévu.
Une nouvelle fois Joris Chamblain et Aurélie Neyret nous présentent une Cerise un peu différente de la précédente. Plus profonde et plus nuancée, tome après tome, la Cerise de ce quatrième volume est plus mélancolique qu'avant.
Les dessins d'Aurélie Neyret portent une nouvelle fois à merveille l'histoire, en jouant sur la couleur pour créer ici une ambiance de mystère et d'orage.
J'ai trouvé que ce tome avait également par certains endroits une lecture plus adulte, particulièrement lorsqu'il s'agit de la relation de la maman de Cerise avec la voisine écrivain. Et l'on sent bien dès le début que derrière l'enquête de la murder party se cache quelques choses de plus grand.
Je vous mentirais si je vous disais que ce tome m'a enchanté autant que les autres. En toute honnêteté j'ai eu plus de mal à entrer dans l'histoire, peut être parce que Cerise est moins excitée, plus mesurée qu'avant. Ou peut être justement parce que la fantaisie des premiers opus a laissé place à une réalité plus présent que Cerise semblé fuir mais qu'elle va à présent être obligée d'affronter pour grandir et se construire.
Un quatrième tome qui gagne en maturité en même temps que son héroïne mais ne cesse de m'éblouir malgré tout par son inventivité et la beauté de ses dessins.
Si La Déesse sans visage n'est pas mon tome préféré des Carnets de Cerise, elle n'en reste pas moins une excellente bande dessinée qui me fait trépigner d'impatience en attendant un cinquième tome.
Lien : https://mabibliothequerose.b..
Nous y retrouvons la jeune fille après un Noël riche en réflexion, en vacances avec sa maman pour participer à une immense murder party dans un manoir qui renferme plus de secrets que prévu.
Une nouvelle fois Joris Chamblain et Aurélie Neyret nous présentent une Cerise un peu différente de la précédente. Plus profonde et plus nuancée, tome après tome, la Cerise de ce quatrième volume est plus mélancolique qu'avant.
Les dessins d'Aurélie Neyret portent une nouvelle fois à merveille l'histoire, en jouant sur la couleur pour créer ici une ambiance de mystère et d'orage.
J'ai trouvé que ce tome avait également par certains endroits une lecture plus adulte, particulièrement lorsqu'il s'agit de la relation de la maman de Cerise avec la voisine écrivain. Et l'on sent bien dès le début que derrière l'enquête de la murder party se cache quelques choses de plus grand.
Je vous mentirais si je vous disais que ce tome m'a enchanté autant que les autres. En toute honnêteté j'ai eu plus de mal à entrer dans l'histoire, peut être parce que Cerise est moins excitée, plus mesurée qu'avant. Ou peut être justement parce que la fantaisie des premiers opus a laissé place à une réalité plus présent que Cerise semblé fuir mais qu'elle va à présent être obligée d'affronter pour grandir et se construire.
Un quatrième tome qui gagne en maturité en même temps que son héroïne mais ne cesse de m'éblouir malgré tout par son inventivité et la beauté de ses dessins.
Si La Déesse sans visage n'est pas mon tome préféré des Carnets de Cerise, elle n'en reste pas moins une excellente bande dessinée qui me fait trépigner d'impatience en attendant un cinquième tome.
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