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Critique de SylFa
Totale immersion dans l'Ouest américain des années 1900.
Juillet 1904, May Kimble se retrouve seule et sans le sou suite au décès de sa mère. Une tante, qu'elle ne connaît pas, lui propose de traverser le pays pour la rejoindre à San Francisco. Elle est alors accueillie par la riche famille Sullivan.
May découvre son nouveau quotidien fait d'opulence, de soirées mondaines, d'oisiveté...même si, elle perçoit certaines incohérences , malgré les mises en garde de sa tante ( sous emprise du laudanum) et d'une servante, la jeune fille ne se méfie pas, elle fait confiance à sa nouvelle famille...
Meghan Chance nous livre un récit passionnant, captivant. On se régale à suivre May dans cette société bourgeoise, à découvrir San Francisco. A l'époque, la ville était parmi les plus grandes de l'Amérique et comptait une forte communauté chinoise, réunit en un quartier, ChinaTown, que les bonnes familles se devaient d'éviter...
Tout au long de cette lecture, on a un sentiment de menace qui plane...et May , naïvement, ne prend pas en compte son instinct. Jusqu'au jour où elle est prise au piège, enfermée, et nous descendons aux enfers avec elle. Cette période va se révéler comme un apprentissage forcé de la vraie vie et lui permettre de prendre conscience qu'elle peut jouer avec les mêmes armes que sa famille et préparer sa vengeance. le grand séisme de 1906, va lui offrir l'opportunité de ses représailles!
Personnellement, j'aurai aimé que la partie vengeance soit plus longue et que l'on découvre un peu plus cette nouvelle May.
J'ai trouvé ses représailles alignées à ses valeurs et adaptées au contexte de l'époque, l'arroseur arrosé en quelque sorte. J'ai beaucoup aimé cette ambiance, similaire (au début) à celle des Chroniques de Bridgerton notamment avec les chroniques mondaines du San Francisco Bulletin qui viennent égratigner la bourgeoisie.
Une lecture que j'ai trouvé trop courte ( 485 pages), j'aurai bien poursuivi encore un peu avec May ...
Juillet 1904, May Kimble se retrouve seule et sans le sou suite au décès de sa mère. Une tante, qu'elle ne connaît pas, lui propose de traverser le pays pour la rejoindre à San Francisco. Elle est alors accueillie par la riche famille Sullivan.
May découvre son nouveau quotidien fait d'opulence, de soirées mondaines, d'oisiveté...même si, elle perçoit certaines incohérences , malgré les mises en garde de sa tante ( sous emprise du laudanum) et d'une servante, la jeune fille ne se méfie pas, elle fait confiance à sa nouvelle famille...
Meghan Chance nous livre un récit passionnant, captivant. On se régale à suivre May dans cette société bourgeoise, à découvrir San Francisco. A l'époque, la ville était parmi les plus grandes de l'Amérique et comptait une forte communauté chinoise, réunit en un quartier, ChinaTown, que les bonnes familles se devaient d'éviter...
Tout au long de cette lecture, on a un sentiment de menace qui plane...et May , naïvement, ne prend pas en compte son instinct. Jusqu'au jour où elle est prise au piège, enfermée, et nous descendons aux enfers avec elle. Cette période va se révéler comme un apprentissage forcé de la vraie vie et lui permettre de prendre conscience qu'elle peut jouer avec les mêmes armes que sa famille et préparer sa vengeance. le grand séisme de 1906, va lui offrir l'opportunité de ses représailles!
Personnellement, j'aurai aimé que la partie vengeance soit plus longue et que l'on découvre un peu plus cette nouvelle May.
J'ai trouvé ses représailles alignées à ses valeurs et adaptées au contexte de l'époque, l'arroseur arrosé en quelque sorte. J'ai beaucoup aimé cette ambiance, similaire (au début) à celle des Chroniques de Bridgerton notamment avec les chroniques mondaines du San Francisco Bulletin qui viennent égratigner la bourgeoisie.
Une lecture que j'ai trouvé trop courte ( 485 pages), j'aurai bien poursuivi encore un peu avec May ...
