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Critique de YvonS
Troisième tome (sur 4?) d'une saga consacrée à Cléopâtre-Séléné, fille de Cléopâtre et Marc-Antoine, seule survivante des enfants de la célébrissime reine d'Égypte.
Après Les Enfants d'Alexandrie et Les Dames de Rome, Françoise Chandernagor reprend ici son personnage à l'âge de 20 ans au moment de son mariage avec Juba, roi de Maurétanie. Non, il n'y a pas de faute d'orthographe. La Maurétanie est à l'époque un royaume côtier méditerranéen englobant une partie du Maghreb, dont l'Algérie principalement. Son époux choisi par Rome a beau être très très beau, Séléné est traumatisée par son enfance, les tueries dont sa famille a été victime. Elle mettra du temps à tomber amoureuse de cet intellectuel, soit disant "barbare", esthète, écrivain, explorateur, à l'intelligence aussi développée que la beauté...
Comment dire? Je ne suis pas complètement séduit par cette histoire et la forme choisie par l'auteure. Autant j'avais été enthousiasmé par L'Allée du Roi, autant je suis perplexe ici. Biographie romancée, entrecoupée de réflexions ou de renvois vers l'actualité plus que roman historique ? Étude historique extrêmement documentée sur la civilisation romaine? On en apprend beaucoup sur la vie quotidienne, la mode, la famille et le rapport aux enfants, le mariage à la romaine... Je dois dire que les rivalités, complots, jalousies internes à la haute société m'ont laissé... de marbre 😉 quand je ne me sentais pas complètement perdu à savoir qui est qui.
Ces familles hyper-recomposées où chacun est marié et remarié 2 ou 3 fois, où les enfants s'adoptent ou s'achètent, où les enfants de l'une deviennent ses demi-frères (si si !), tout cela est très compliqué à suivre. Et ce malgré la postface de l'auteure et le dictionnaire des personnages en fin de volume.
Je m'y suis perdu. J'y ai perdu mon envie et mon plaisir. D'autant plus quand j'ai été surpris par la fin en réalisant que je quittais Séléné et Juba au milieu de leur vie. J'ai beau aimer Françoise Chandernagor, la Rome antique et les romans historiques, je suis déçu. A réserver donc à ceux qui ont lu et aimé les 2 premiers tomes et qui sont sans doute plus familiers que moi de ces filiations dont l'auteure elle-même dit qu'en dessiner un arbre généalogique lisible est impossible. A vous de voir...
Après Les Enfants d'Alexandrie et Les Dames de Rome, Françoise Chandernagor reprend ici son personnage à l'âge de 20 ans au moment de son mariage avec Juba, roi de Maurétanie. Non, il n'y a pas de faute d'orthographe. La Maurétanie est à l'époque un royaume côtier méditerranéen englobant une partie du Maghreb, dont l'Algérie principalement. Son époux choisi par Rome a beau être très très beau, Séléné est traumatisée par son enfance, les tueries dont sa famille a été victime. Elle mettra du temps à tomber amoureuse de cet intellectuel, soit disant "barbare", esthète, écrivain, explorateur, à l'intelligence aussi développée que la beauté...
Comment dire? Je ne suis pas complètement séduit par cette histoire et la forme choisie par l'auteure. Autant j'avais été enthousiasmé par L'Allée du Roi, autant je suis perplexe ici. Biographie romancée, entrecoupée de réflexions ou de renvois vers l'actualité plus que roman historique ? Étude historique extrêmement documentée sur la civilisation romaine? On en apprend beaucoup sur la vie quotidienne, la mode, la famille et le rapport aux enfants, le mariage à la romaine... Je dois dire que les rivalités, complots, jalousies internes à la haute société m'ont laissé... de marbre 😉 quand je ne me sentais pas complètement perdu à savoir qui est qui.
Ces familles hyper-recomposées où chacun est marié et remarié 2 ou 3 fois, où les enfants s'adoptent ou s'achètent, où les enfants de l'une deviennent ses demi-frères (si si !), tout cela est très compliqué à suivre. Et ce malgré la postface de l'auteure et le dictionnaire des personnages en fin de volume.
Je m'y suis perdu. J'y ai perdu mon envie et mon plaisir. D'autant plus quand j'ai été surpris par la fin en réalisant que je quittais Séléné et Juba au milieu de leur vie. J'ai beau aimer Françoise Chandernagor, la Rome antique et les romans historiques, je suis déçu. A réserver donc à ceux qui ont lu et aimé les 2 premiers tomes et qui sont sans doute plus familiers que moi de ces filiations dont l'auteure elle-même dit qu'en dessiner un arbre généalogique lisible est impossible. A vous de voir...
