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Critique de lechristophe
Dans ma critique du neuvième album de la série, j'avais écrit que "Les Pionniers du Nouveau Monde" ne connaissait pas encore de baisse de niveau, ce qui était assez rare après une dizaine d'épisodes. Puis, j'ai lu le onzième tome que j'avais trouvé moins bon que ses devanciers car se déroulant presque exclusivement en Europe. Et voici venir le douzième. Eh bien ! c'est quand même le moins intéressant de tous depuis en fait le tout premier qui n'était qu'une présentation des personnages principaux.
Certes, on retourne enfin en Amérique du Nord et on suit les pérégrinations du groupe de Billy pour retourner chez eux mais... bof. Il y a bien les paysages dessinés par Ersel, sous la neige dans cet épisode, mais il manque un soupçon d'aventure. Les seules scènes d'action sont des scènes de chasse, c'est dire !
Jean-François Charles a dû se rendre compte de la faiblesse de cet album et nous a rajouté un autre groupe de pionniers. Les Anglais occupant la région séparent les couples mixtes français-amérindiennne. Pour éviter cela, un couple de québécois et leur quatre enfants s'enfuit de la capitale et remonte le Saint-Laurent, guidé par un curé. On découvre donc les aléas de leur voyage, la sauvagerie de la nature et des Chippewas.
Sinon, cet album aborde frontalement la méthode employée par les Anglo-saxons de l'époque pour se débarrasser des autochtones : leur transmettre des maladies grâce à des couvertures contaminées offertes lors de troc...
Certes, on retourne enfin en Amérique du Nord et on suit les pérégrinations du groupe de Billy pour retourner chez eux mais... bof. Il y a bien les paysages dessinés par Ersel, sous la neige dans cet épisode, mais il manque un soupçon d'aventure. Les seules scènes d'action sont des scènes de chasse, c'est dire !
Jean-François Charles a dû se rendre compte de la faiblesse de cet album et nous a rajouté un autre groupe de pionniers. Les Anglais occupant la région séparent les couples mixtes français-amérindiennne. Pour éviter cela, un couple de québécois et leur quatre enfants s'enfuit de la capitale et remonte le Saint-Laurent, guidé par un curé. On découvre donc les aléas de leur voyage, la sauvagerie de la nature et des Chippewas.
Sinon, cet album aborde frontalement la méthode employée par les Anglo-saxons de l'époque pour se débarrasser des autochtones : leur transmettre des maladies grâce à des couvertures contaminées offertes lors de troc...
