Gregory Harville est un des rares ouvrages que je n'avais pas encore lu de
Maxime Chattam.
Une courte nouvelle écrite avec des accents de fantastique que j'ai trouvée très prenante et émouvante. N'a-t-on jamais réalisé que certaines personnes autour de nous étaient « transparentes » à nos yeux, qu'on ne verrait pas tout de suite si elles disparaissaient du jour au lendemain ?
Le principal protagoniste est un père de famille sans histoire qui découvre à l'occasion d'une réunion de parents l'existence du fantôme d'un ado décédé il y a 40 ans mais dont personne ne semble remarquer la présence.
Comme l'écrit si bien l'auteur sur son site, cette histoire est « profondément humaine. Une histoire à lire l'hiver, lorsqu'il fait bien froid au dehors… »
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