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Critique de lylyrose974
depuis que je connais le style Maxime CHATTAM, je ne m'en lasse plus.
je ne lis plus, je dévore.
Pourquoi, parce que son écriture vous immerge totalement dans l'histoire. Que ce soit en audio livre ou en lecture traditionnelle, dès la première ligne, vous ne voyez pas une scène qui se déroule, vous êtes dans le livre. Je suis dans l'atmosphère du moment, chaque personnage, chaque lieu, chaque sentiment tout est là. Et puis , la façon dont meurent les personnages, ça marque ; tout est parfaitement détaillé, sans barrière. Si on était filmé à ce moment là, le stress, la peur, le dégoût se lirait sur notre visage, à coup sûr.
Bref, j'aime votre écriture monsieur CHATTAM. Pas de temps morts, scènes parfaitement décrites sans lourdeur, des personnages très attachants, des mise à mort effroyables, de la tristesse et de la pitié pour tous ces personnages malmenés, l'envie presque viscérale de ne jamais refermé le livre car on en veut toujours plus, on veut en découdre, connaître le mot de la fin..
Continuez ainsi, ce n'est pas moi qui m'en lasserai.
je ne lis plus, je dévore.
Pourquoi, parce que son écriture vous immerge totalement dans l'histoire. Que ce soit en audio livre ou en lecture traditionnelle, dès la première ligne, vous ne voyez pas une scène qui se déroule, vous êtes dans le livre. Je suis dans l'atmosphère du moment, chaque personnage, chaque lieu, chaque sentiment tout est là. Et puis , la façon dont meurent les personnages, ça marque ; tout est parfaitement détaillé, sans barrière. Si on était filmé à ce moment là, le stress, la peur, le dégoût se lirait sur notre visage, à coup sûr.
Bref, j'aime votre écriture monsieur CHATTAM. Pas de temps morts, scènes parfaitement décrites sans lourdeur, des personnages très attachants, des mise à mort effroyables, de la tristesse et de la pitié pour tous ces personnages malmenés, l'envie presque viscérale de ne jamais refermé le livre car on en veut toujours plus, on veut en découdre, connaître le mot de la fin..
Continuez ainsi, ce n'est pas moi qui m'en lasserai.
