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Critique de NiLyF
La couverture annonce que ce livre fait peur, et que n'importe quel lecteur qui l'ouvrira aura « vraiment peur » en le lisant. En temps normal je déteste ce genre de phrases, qui tombent souvent à l'eau.
Cette fois-ci la promesse est respectée. Étant une adepte de King, j'ai l'habitude d'être plongée dans l'horreur, de me trouver face à une plume particulièrement acérée et macabre. Je connais déjà Chattam, mais il m'a agréablement surprise avec ce roman. Il s'améliore dans son écriture, et dans la construction de ses personnages. Ces derniers tiennent la route, et sont attachants. L'auteur arrive à ne pas se perdre malgré la foule, et il offre à son lecteur des possibilités multiples pour s'attacher aux personnages, pour vivre la terreur avec eux.
Les scènes macabres pullulent, mais elles sont toutes cohérentes et bien écrites. Chattam ne tombe pas dans le grotesque, malgré la violence de certaines morts. Il construit un univers violent qui tient la route, qui est expliqué, et qui ne laisse pas le lecteur sans réponses.
Je n'ai, sincèrement, pas trouvé de maladresses dans ce roman, et malgré ses 900 pages la lecture se fait de manière fluide. L'histoire est bien construite, presque logique, les personnages sont attachants, les évènements s'enchaînent sans perdre le lecteur pour autant.
- ATTENTION SPOILER ! -
- - - - - - - - - - - - - - - - - - - -
Ayant déjà lu beaucoup d'oeuvres de Chattam, j'aurais dû me douter que les personnages principaux n'étaient pas à l'abri de la mort. Malgré tout l'auteur a su me prendre par surprise, et me briser le coeur. Il n'épargne rien, absolument rien, à ses personnages. La grande force de ce roman est le fait que ces morts de personnages principaux arrivent sans être annoncées. Elles font partie du récit, de la narration, de l'évènement. Chattam ne se perd pas en conjectures, il ne tourne pas autour de la question. Si ce personnage meurt, rien ou presque ne l'aura laissé présagé. Ils font partie du roman, comme les autres.
Cette fois-ci la promesse est respectée. Étant une adepte de King, j'ai l'habitude d'être plongée dans l'horreur, de me trouver face à une plume particulièrement acérée et macabre. Je connais déjà Chattam, mais il m'a agréablement surprise avec ce roman. Il s'améliore dans son écriture, et dans la construction de ses personnages. Ces derniers tiennent la route, et sont attachants. L'auteur arrive à ne pas se perdre malgré la foule, et il offre à son lecteur des possibilités multiples pour s'attacher aux personnages, pour vivre la terreur avec eux.
Les scènes macabres pullulent, mais elles sont toutes cohérentes et bien écrites. Chattam ne tombe pas dans le grotesque, malgré la violence de certaines morts. Il construit un univers violent qui tient la route, qui est expliqué, et qui ne laisse pas le lecteur sans réponses.
Je n'ai, sincèrement, pas trouvé de maladresses dans ce roman, et malgré ses 900 pages la lecture se fait de manière fluide. L'histoire est bien construite, presque logique, les personnages sont attachants, les évènements s'enchaînent sans perdre le lecteur pour autant.
- ATTENTION SPOILER ! -
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Ayant déjà lu beaucoup d'oeuvres de Chattam, j'aurais dû me douter que les personnages principaux n'étaient pas à l'abri de la mort. Malgré tout l'auteur a su me prendre par surprise, et me briser le coeur. Il n'épargne rien, absolument rien, à ses personnages. La grande force de ce roman est le fait que ces morts de personnages principaux arrivent sans être annoncées. Elles font partie du récit, de la narration, de l'évènement. Chattam ne se perd pas en conjectures, il ne tourne pas autour de la question. Si ce personnage meurt, rien ou presque ne l'aura laissé présagé. Ils font partie du roman, comme les autres.
