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Critique de LoupAlunettes
Parlons sport.
Ce n'est pas toujours courant dans les romans jeunesse et surtout concernant le Rugby.
Le Rugby, c'est une histoire de gaillards.
De copains surtout, diraient les Montmartiguais.
À Montmartigues, c'est une véritable institution.
On né Rugby, on mange Rugby, on parle Rugby, on respire Rugby.
Yvan Pommaux, auteur-illustrateur, posant en page de garde avec son équipe de cadets, insiste sur ces valeurs de convivialité et de fraternité sportives qui posent un contexte incroyable de noblesse de jeu.
Les tablettes de la loi du Rugby vont toutefois trébuché de leur socle.
Avec l'arrivée d'un jeune nouveau chez les cadets du RCM( le Rugby Club Montmartiguais).
Un petit nouveau qui a tout pour plaire et un premier de la classe en plus.
Martin, 13 ans, ne voit pas d'un bon oeil tous les regards féminins des classes de 3ème (dont celui de sa petite amie) tournés vers lui et tous ses copains sont exaspérés par les soupirs de plaisir qui les accompagnent.
Antonin Beau est beau.
Ô râge, ô désespoir.
Mais qui nous l'envoie ce parisien?
Heureusement, les potes ont trouvé, comme ils disent, la faille, la poussière au tableau idyllique.
Antonin n'y entend rien de rien au Rugby. La truffe!, diraient les potes.
Une bénédiction pour les enfants du pays.
Seulement, le père d'Antonin, Pdg des célèbres Laboratoires pharmaceutiques Biopharmag qui sponsorisent le RCM, trouverait de bon ton que son fils fasse du Rugby comme tous les gosses de l'entreprise et du coin.
Le Rugby, c'est amical, certe, mais c'est une affaire sérieuse.
Nous sourions des manoeuvres du père de Martin pour dissuader son patron, plus pour des performances sportives à maintenir avec l'équipe des cadets que par les risques de se blesser, on le devine.
Martin est partagé, entre esprit d'équipe, jalousie et véritable estime pour cet Antonin qui n'a rien demandé à personne mais qui veut bien faire.
C'est qu'il semble aussi doué au Rugby, le nouveau.
Ô râge, ô désespoir.
Le roman mélange le genre du récit et du documentaire.
Au travers de la chronique familiale de Martin, nous apprenons tout ce qu'il y a à savoir sur ce sport, dans l'esprit et la technique.
Nous ne reconnaissons pas forcément quelle est la part de Rémi Chauraud mais en tout cas il est là et nous retrouvons l'esprit des albums didactiques et très illustrés de Pommaux comme celui d"Avant la Télé" et "Véro en mai".
Nous apprécions ces petits sketchs de situations pour bien nous situer les choses.
Le sport mis à part, les deux auteurs arrivent à nous offrir une affaire d'amitié crédible, qui étrangement parlera aux filles comme aux garçons sur ce trait suivi du complexe.
Nous sommes sur la compétition naturelle, nourrie par l'impression de perfection de cet élève malgré lui détestable car adoré de tous.
L'esprit d'amitié et celui du sport devraient y mettre bon ordre.
Ce n'est pas toujours courant dans les romans jeunesse et surtout concernant le Rugby.
Le Rugby, c'est une histoire de gaillards.
De copains surtout, diraient les Montmartiguais.
À Montmartigues, c'est une véritable institution.
On né Rugby, on mange Rugby, on parle Rugby, on respire Rugby.
Yvan Pommaux, auteur-illustrateur, posant en page de garde avec son équipe de cadets, insiste sur ces valeurs de convivialité et de fraternité sportives qui posent un contexte incroyable de noblesse de jeu.
Les tablettes de la loi du Rugby vont toutefois trébuché de leur socle.
Avec l'arrivée d'un jeune nouveau chez les cadets du RCM( le Rugby Club Montmartiguais).
Un petit nouveau qui a tout pour plaire et un premier de la classe en plus.
Martin, 13 ans, ne voit pas d'un bon oeil tous les regards féminins des classes de 3ème (dont celui de sa petite amie) tournés vers lui et tous ses copains sont exaspérés par les soupirs de plaisir qui les accompagnent.
Antonin Beau est beau.
Ô râge, ô désespoir.
Mais qui nous l'envoie ce parisien?
Heureusement, les potes ont trouvé, comme ils disent, la faille, la poussière au tableau idyllique.
Antonin n'y entend rien de rien au Rugby. La truffe!, diraient les potes.
Une bénédiction pour les enfants du pays.
Seulement, le père d'Antonin, Pdg des célèbres Laboratoires pharmaceutiques Biopharmag qui sponsorisent le RCM, trouverait de bon ton que son fils fasse du Rugby comme tous les gosses de l'entreprise et du coin.
Le Rugby, c'est amical, certe, mais c'est une affaire sérieuse.
Nous sourions des manoeuvres du père de Martin pour dissuader son patron, plus pour des performances sportives à maintenir avec l'équipe des cadets que par les risques de se blesser, on le devine.
Martin est partagé, entre esprit d'équipe, jalousie et véritable estime pour cet Antonin qui n'a rien demandé à personne mais qui veut bien faire.
C'est qu'il semble aussi doué au Rugby, le nouveau.
Ô râge, ô désespoir.
Le roman mélange le genre du récit et du documentaire.
Au travers de la chronique familiale de Martin, nous apprenons tout ce qu'il y a à savoir sur ce sport, dans l'esprit et la technique.
Nous ne reconnaissons pas forcément quelle est la part de Rémi Chauraud mais en tout cas il est là et nous retrouvons l'esprit des albums didactiques et très illustrés de Pommaux comme celui d"Avant la Télé" et "Véro en mai".
Nous apprécions ces petits sketchs de situations pour bien nous situer les choses.
Le sport mis à part, les deux auteurs arrivent à nous offrir une affaire d'amitié crédible, qui étrangement parlera aux filles comme aux garçons sur ce trait suivi du complexe.
Nous sommes sur la compétition naturelle, nourrie par l'impression de perfection de cet élève malgré lui détestable car adoré de tous.
L'esprit d'amitié et celui du sport devraient y mettre bon ordre.
