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Critique de Parfumart
Je prévoyais lire les 3, mais après La passion Lippi, dans "Le rêve Boticelli" j'ai commencé à en avoir marre de ce style d'écriture tellement nerveux, de phrases trop courtes enchaînées l'une après l'autre, sans respect pour le besoin de respirer du lecteur. J'avais l'impression qu'on essayait, avec cette technique, de me mettre hors d'haleine, mais artificiellement. On ne nous laisse pas nous asseoir et respirer. C'est comme marcher en sautant sur la pointe des orteils, mais pendant des kilomètres. En plus, j'ai lu qu'au point de vue historique, il y aurait des faussetés. Je ne suis pas à même d'en juger, mais il n'en fallait pas plus pour que j'interrompe ma lecture, car l'agacement était trop fort. Je me suis alors plongé dans un autre roman historique de peintre, au style littéraire tellement plus à mon goût: La longue attente de l'ange, de Mazzuco
