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Critique de LoupAlunettes
Ulysse s'ennuie.
Ulysse ne voyait pas ses vacances sous cet angle, encore casé chez le tonton et la tata, pendant que les grands s'amusent.
Coincé sur le canapé entre Tata Frida, qui gaze gentiment ses invités et Tonton Lucien, qui lit l'horoscope de la veille pour vérifier si les choses se sont passées comme écrit, le gamin laissé en pension par des parents en nouvelle lune de miel s'ennuie ferme.
A midi, c'est conserve.
Au dîner, c'est conserve.
Quelle aventure!
Il n'y a que Denis le chat qui ne se plaint pas du menu quotidien, normal, il mange à la même table et se trouve traité comme un pacha.
Les illustrations de Aurélie Guillerey en témoignent, le chat en a le costume, tout de rouge vêtu.
Au moins un qui semble gâté par l'histoire imaginée par Emilie Chazerand.
Et le constat ne se dément pas puisqu'un jour, au miracle pour Ulysse, le petit garçon trouve une sirène coincée entre les sardines dans sa boîte.
Pas banal.
Elle est pénible et casse-pied mais au moins le quotidien va se trouver enfin épicé.
A un point épicé que Denis n'en fera qu'une bouchée.
Ecailles pour écailles, l'estomac gourmand de chat n'a pas d'oeil.
Et flûte, l'herbe sous le pied est coupée et là, c'est la coupe d'eau qui fait débordée le vase.
La larme à l'oeil, Ulysse attend de nouveau que sa chance sorte de la conserve et puis...et puis...
La fin sera à découvrir par les lecteurs.
La chute ne fait pas le livre.
L'humour repose surtout sur un banal quotidien raconté avec humour par l'auteure, un regard cynique, impertinent, à portée des enfants qui poufferont de rire des travers des personnages autant qu'ils seront surpris pas ce qui se cache dans les boîtes de conserve de Ulysse.
A croire que les visites familiales ne sont qu'un joli supplice si l'on se rappelle "L'horrible Madame Mémé".
Les illustrations participent à égayer un peu ce séjour à la fois pesant et amusant, c'est la note légère et colorée de pastel.
Les jeunes lecteurs pourront lire et relire le livre, puis le dépasser en imaginant ce que l'on pourrait trouver d'autres de coincé entre les petits pois en conserve ou dormant dans le pâté.
Des auteures que l'on aime bien.
Ulysse ne voyait pas ses vacances sous cet angle, encore casé chez le tonton et la tata, pendant que les grands s'amusent.
Coincé sur le canapé entre Tata Frida, qui gaze gentiment ses invités et Tonton Lucien, qui lit l'horoscope de la veille pour vérifier si les choses se sont passées comme écrit, le gamin laissé en pension par des parents en nouvelle lune de miel s'ennuie ferme.
A midi, c'est conserve.
Au dîner, c'est conserve.
Quelle aventure!
Il n'y a que Denis le chat qui ne se plaint pas du menu quotidien, normal, il mange à la même table et se trouve traité comme un pacha.
Les illustrations de Aurélie Guillerey en témoignent, le chat en a le costume, tout de rouge vêtu.
Au moins un qui semble gâté par l'histoire imaginée par Emilie Chazerand.
Et le constat ne se dément pas puisqu'un jour, au miracle pour Ulysse, le petit garçon trouve une sirène coincée entre les sardines dans sa boîte.
Pas banal.
Elle est pénible et casse-pied mais au moins le quotidien va se trouver enfin épicé.
A un point épicé que Denis n'en fera qu'une bouchée.
Ecailles pour écailles, l'estomac gourmand de chat n'a pas d'oeil.
Et flûte, l'herbe sous le pied est coupée et là, c'est la coupe d'eau qui fait débordée le vase.
La larme à l'oeil, Ulysse attend de nouveau que sa chance sorte de la conserve et puis...et puis...
La fin sera à découvrir par les lecteurs.
La chute ne fait pas le livre.
L'humour repose surtout sur un banal quotidien raconté avec humour par l'auteure, un regard cynique, impertinent, à portée des enfants qui poufferont de rire des travers des personnages autant qu'ils seront surpris pas ce qui se cache dans les boîtes de conserve de Ulysse.
A croire que les visites familiales ne sont qu'un joli supplice si l'on se rappelle "L'horrible Madame Mémé".
Les illustrations participent à égayer un peu ce séjour à la fois pesant et amusant, c'est la note légère et colorée de pastel.
Les jeunes lecteurs pourront lire et relire le livre, puis le dépasser en imaginant ce que l'on pourrait trouver d'autres de coincé entre les petits pois en conserve ou dormant dans le pâté.
Des auteures que l'on aime bien.
