Cela pourrait être sous-trimé “C'est celui qui le dit qui l'est”. Ce pourrait être aussi la version littéraire de la “Rose pourpre du Caire” de Woody. Ce chassé-croisé entre auteur, éditeur et personnage est de la plus belle facture. On marche vraiment, en faisant semblent de ne pas savoir qui est qui. Les personnages, tous confondus, ne le savent pas davantage, là est l'habileté de l'auteur. Une belle rigolade sans prétention.
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