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Critique de a_fox_in_wonderland
Pour qui connaît Agatha Christie, imaginer qu'un paisible coin verdoyant de la campagne anglaise puisse être tranquille... C'est un peu présomptueux !
Après l'hiver, l'été, les histoires d'amour et le surnaturel, voici un nouveau recueil thématique : place aux nouvelles qui sentent bon les floraisons de printemps.
Comme à chaque fois, j'apprécie la variété des enquêteurs. Pour mon plus grand plaisir, j'y ai retrouvé Mister Quin (mon favori) et heureusement pour moi, il n'y avait qu'une seule nouvelle mettant en scène Parker Pyne (oui, je ne l'aime pas beaucoup...). Bien sûr les petites cellules grises d'Hercule Poirot et les aiguilles à tricoter de Miss Marple ne sont pas en reste. Et d'ailleurs je crois bien que j'ai découvert une nouvelle avec la chère vieille dame que je ne connaissais pas encore - ça devient suffisamment rare pour être signalé.
Pour la plupart, je les avais déjà lues et la solution m'est revenue : mais ça ne me dérange pas, car ça me permet de repérer (quand il y en a) les indices cachés, les phrases à double sens, bref tout ce que lady Agatha devait glisser comme allusion - en s'amusant de tromper le lecteur par ses dissimulations.
Je n'espère plus qu'une chose : que le recueil d'automne soit prévu pour cette année.
Après l'hiver, l'été, les histoires d'amour et le surnaturel, voici un nouveau recueil thématique : place aux nouvelles qui sentent bon les floraisons de printemps.
Comme à chaque fois, j'apprécie la variété des enquêteurs. Pour mon plus grand plaisir, j'y ai retrouvé Mister Quin (mon favori) et heureusement pour moi, il n'y avait qu'une seule nouvelle mettant en scène Parker Pyne (oui, je ne l'aime pas beaucoup...). Bien sûr les petites cellules grises d'Hercule Poirot et les aiguilles à tricoter de Miss Marple ne sont pas en reste. Et d'ailleurs je crois bien que j'ai découvert une nouvelle avec la chère vieille dame que je ne connaissais pas encore - ça devient suffisamment rare pour être signalé.
Pour la plupart, je les avais déjà lues et la solution m'est revenue : mais ça ne me dérange pas, car ça me permet de repérer (quand il y en a) les indices cachés, les phrases à double sens, bref tout ce que lady Agatha devait glisser comme allusion - en s'amusant de tromper le lecteur par ses dissimulations.
Je n'espère plus qu'une chose : que le recueil d'automne soit prévu pour cette année.
