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Critique de florencem
Agréablement surprise par ce tome trois, et j'ai envie d'ajouter : il était temps. On retrouve bien entendu la même ambiance que dans le premier arc, mais il y a un je ne sais quoi de différent qui fait que j'ai moins l'impression de voir du réchauffé. Et c'est un grand ouf pour moi, car adorant les Clamp et leurs différentes oeuvres, j'avais quelques inquiétudes.
Je vais tout de même commencer par quelques points qui me chagrinent un petit peu. Rien de bien méchant. Sakura réussit à attraper quatre ou cinq cartes dans ce tome. Je trouve que cela fait beaucoup, surtout qu'elle y arrive avec une facilité déconcertante. Néanmoins, il y a aussi quelque chose de nouveau. Les nouvelles cartes semblent vouloir se montrer à notre héroïne, certes cherchent même son affection. C'est adorable, et j'aime beaucoup l'idée. On retrouve ce lien avec la magie qui est plus une affinité qu'un pouvoir. Les cartes de Sakura étaient attachées à leur maîtresse et l'ont même défendue et protégée. Cette relation était pour moi très importante, surtout vu la fin de la première saga. On retrouve un peu cela ici. La question étant : est-ce normal ? Si j'ai bien suivi, Sakura n'est pas liée à ce nouveau sceau et donc aux cartes (quand est-il des siennes d'ailleurs ?). Et là, comme d'habitude, les questions s'accumulent. Bon, les Clamp sont les spécialistes de l'embrouillage de cerveau. Et je commence à me dire que la petite nouvelle n'y est pour rien ou alors sans le savoir. Son compagnon par contre... Il est très suspect. Et là, mon imagination s'emballe : et si la personne avec la cape était Sakura mais du futur ? C'est ce que j'adore et ce qui m'a fait beaucoup apprécié ce tome, je pense. Je commence à chercher des réponses et tout ne semble pas aussi facile qu'aux premiers abords. J'ai hâte de voir ce qu'il en est vraiment !
Deuxième point un peu négatif : le manque d'évolution des personnages. Ce sont encore des enfants, je l'entends bien, mais Sakura n'a pas vraiment mûrie. Shaolan, si, c'est assez flagrant, mais notre héroïne semble toujours garder cette attitude d'enfant. Ce n'est pas péjoratif, elle est mignonne tout plein, très mature aussi pour son âge, je ne le nie pas, mais à de très nombreuses reprises, j'ai l'impression de retrouver la Sakura du tout premier tome. C'est flagrant, notamment, dans sa relation avec Shaolan. Je ne m'attends pas à ce qu'ils se bécotent (faut pas non plus abuser) mais elle est toujours mal à l'aise, ose à peine le regarder. Je pensais qu'elle avait dépassé ce cap, c'est un peu dommage.
Concernant le reste du tome, il se concentre beaucoup plus sur Akiho, et c'est plutôt une bonne chose. On apprend vraiment à la connaître et elle est de plus en plus attachante. Nul doute qu'elle est liée d'une façon ou une autre à ce qu'il se passe, mais je pense maintenant que c'est indirecte. Alors, tout de suite, comme elle n'apparaît plus comme une suspecte, les barrières tombent et j'ai moins de réticence à l'apprécier. Il y a aussi une bonne dose de relationnel dans ce tome. C'est très sympathique de voir Kélo et Yué discuter de leur pitchounette, Tomoyo qui garde un oeil sur sa meilleure amie et met son grain de sel pour lui faciliter la vie, ou bien Toya et son père s'inquiéter pour notre héroïne.
Pas de frustration avec ce tome, et cela fait un bien fou, plutôt un petit rayon de soleil et de bonne humeur. On plonge de plus en plus dans le mystère avec quelques petits indices et pourtant, on ne nous dévoile rien. J'espère que la suite suivra ce chemin.
Je vais tout de même commencer par quelques points qui me chagrinent un petit peu. Rien de bien méchant. Sakura réussit à attraper quatre ou cinq cartes dans ce tome. Je trouve que cela fait beaucoup, surtout qu'elle y arrive avec une facilité déconcertante. Néanmoins, il y a aussi quelque chose de nouveau. Les nouvelles cartes semblent vouloir se montrer à notre héroïne, certes cherchent même son affection. C'est adorable, et j'aime beaucoup l'idée. On retrouve ce lien avec la magie qui est plus une affinité qu'un pouvoir. Les cartes de Sakura étaient attachées à leur maîtresse et l'ont même défendue et protégée. Cette relation était pour moi très importante, surtout vu la fin de la première saga. On retrouve un peu cela ici. La question étant : est-ce normal ? Si j'ai bien suivi, Sakura n'est pas liée à ce nouveau sceau et donc aux cartes (quand est-il des siennes d'ailleurs ?). Et là, comme d'habitude, les questions s'accumulent. Bon, les Clamp sont les spécialistes de l'embrouillage de cerveau. Et je commence à me dire que la petite nouvelle n'y est pour rien ou alors sans le savoir. Son compagnon par contre... Il est très suspect. Et là, mon imagination s'emballe : et si la personne avec la cape était Sakura mais du futur ? C'est ce que j'adore et ce qui m'a fait beaucoup apprécié ce tome, je pense. Je commence à chercher des réponses et tout ne semble pas aussi facile qu'aux premiers abords. J'ai hâte de voir ce qu'il en est vraiment !
Deuxième point un peu négatif : le manque d'évolution des personnages. Ce sont encore des enfants, je l'entends bien, mais Sakura n'a pas vraiment mûrie. Shaolan, si, c'est assez flagrant, mais notre héroïne semble toujours garder cette attitude d'enfant. Ce n'est pas péjoratif, elle est mignonne tout plein, très mature aussi pour son âge, je ne le nie pas, mais à de très nombreuses reprises, j'ai l'impression de retrouver la Sakura du tout premier tome. C'est flagrant, notamment, dans sa relation avec Shaolan. Je ne m'attends pas à ce qu'ils se bécotent (faut pas non plus abuser) mais elle est toujours mal à l'aise, ose à peine le regarder. Je pensais qu'elle avait dépassé ce cap, c'est un peu dommage.
Concernant le reste du tome, il se concentre beaucoup plus sur Akiho, et c'est plutôt une bonne chose. On apprend vraiment à la connaître et elle est de plus en plus attachante. Nul doute qu'elle est liée d'une façon ou une autre à ce qu'il se passe, mais je pense maintenant que c'est indirecte. Alors, tout de suite, comme elle n'apparaît plus comme une suspecte, les barrières tombent et j'ai moins de réticence à l'apprécier. Il y a aussi une bonne dose de relationnel dans ce tome. C'est très sympathique de voir Kélo et Yué discuter de leur pitchounette, Tomoyo qui garde un oeil sur sa meilleure amie et met son grain de sel pour lui faciliter la vie, ou bien Toya et son père s'inquiéter pour notre héroïne.
Pas de frustration avec ce tome, et cela fait un bien fou, plutôt un petit rayon de soleil et de bonne humeur. On plonge de plus en plus dans le mystère avec quelques petits indices et pourtant, on ne nous dévoile rien. J'espère que la suite suivra ce chemin.
