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Critique de Asterios


Suite à la construction du transcontinental Canadien, la colonisation s'accélère et ouvre la voie à travers les épaisses forets, les zones marécageuses du Nord jusque là inaccessibles. La voie ferrée va irriguer en hommes les contrées sauvages.
Il suffira que quelques personnes trouvent ou croient trouver quelques grains de poussière jaune pour déclencher une ruée qui va drainer une marée humaine désespérée. En effet, rares sont les filons et nombreux les prétendants à la fortune.
Dans ce contexte, il en est un qui trouve sa chance et qui arrive à ne pas tomber dans les griffes des grandes compagnies. il construit sa mine, embauche et toute la vie s'organise autour de ce précieux métal. les villes apparaissent au gré des rumeurs, les bateaux sont bricolés à partir de vieux moteurs de voitures, les avions gagnent peu a peu leur place au dessus des immenses forets, le monde s'affole. L'esprit d'aventure et d'entreprise est omniprésent dans l'ouvrage, les plus audacieux étant souvent les plus récompensés, encore faut-il trouver la juste limite...
Car l'avidité n'a pas de frontière; si pour certains elle est synonyme de richesse pour d'autres elle est synonyme de confort, et qui n'en rêve pas dans le monde austère et glacial du Grand Nord?
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