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Critique de Esorlecram
On retrouve ici le Clavel des grands espaces. Il nous conte l'épopée des chercheurs d'or dans le Nord Québécois, depuis l'arrivée du premier aventurier –Maxime Jordan, personnage central du roman-, jusqu'à l'industrialisation du site, la naissance de véritables bourgs et la commercialisation effrénée. Et aussi jusqu'à la catastrophe finale pour notre « héros ».
On ne retrouve malheureusement pas le souffle épique de l'auteur qui nous faisait vivre le Rhône, ou les régions sauvages du Jura. D'où une oeuvre qui se traîne quelque peu, malgré des qualités d'écriture toujours évidentes.
On ne retrouve malheureusement pas le souffle épique de l'auteur qui nous faisait vivre le Rhône, ou les régions sauvages du Jura. D'où une oeuvre qui se traîne quelque peu, malgré des qualités d'écriture toujours évidentes.
