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Critique de l_iris_me
s'il y a un journaliste dont j'aime suivre le travail, c'est bien Hugo Clément. que ce soit sur ses réseaux, via son émission "Sur le Front" ou encore par la lecture de son précédent livre "Comment j'ai arrêté de manger les animaux".
alors forcément, je voulais découvrir son dernier roman. dès le premier chapitre, j'ai pleuré. il a été une sacrée claque pour moi. une piqûre de rappel dont j'avais besoin. qui rappelle à quel point agir pour l'environnement est nécessaire, et ainsi rappelle ce pourquoi on agit. il m'a été bénéfique de le relire.
en flânant sur Babelio, je suis tombée sur une chronique négative à propos de ce livre. son auteur insistait sur l'aspect pathétique du roman qui lui avait déplu. alors j'ai réfléchi un peu. et je suis arrivée à la conclusion que c'était selon moi le point fort de ce livre. parce que, comment changer les mentalités, comment provoquer un prise de conscience si on ne touche pas les gens ? si les mots glissent et ne font rien au fond de nous, ils n'ont aucune portée. avec moi du moins, cette approche a très bien fonctionné. je vous assure, pleurer à 6h30 devant mon petit-déjeuner n'était pas prévu, je ne me suis pas forcée...
toutefois, si on s'intéresse d'avantage au contenu du livre, je dois vous prévenir que si comme moi vous avez l'habitude de regarder le contenu qu'il propose, vous n'allez pas découvrir grand chose. je connaissais la plupart de ces enquêtes et de ces actions via ses réseaux sociaux. un chapitre du livre correspond à un front différent, en passant du Mexique et sa "cocaïne de la mer", le totoaba, jusqu'aux Îles Féroé et leur massacre de cétacés... (et là rien de moralisateur !)
lire ce genre de livres m'avait manqué.
(issu de mon compte Instagram @l.iris.me)
alors forcément, je voulais découvrir son dernier roman. dès le premier chapitre, j'ai pleuré. il a été une sacrée claque pour moi. une piqûre de rappel dont j'avais besoin. qui rappelle à quel point agir pour l'environnement est nécessaire, et ainsi rappelle ce pourquoi on agit. il m'a été bénéfique de le relire.
en flânant sur Babelio, je suis tombée sur une chronique négative à propos de ce livre. son auteur insistait sur l'aspect pathétique du roman qui lui avait déplu. alors j'ai réfléchi un peu. et je suis arrivée à la conclusion que c'était selon moi le point fort de ce livre. parce que, comment changer les mentalités, comment provoquer un prise de conscience si on ne touche pas les gens ? si les mots glissent et ne font rien au fond de nous, ils n'ont aucune portée. avec moi du moins, cette approche a très bien fonctionné. je vous assure, pleurer à 6h30 devant mon petit-déjeuner n'était pas prévu, je ne me suis pas forcée...
toutefois, si on s'intéresse d'avantage au contenu du livre, je dois vous prévenir que si comme moi vous avez l'habitude de regarder le contenu qu'il propose, vous n'allez pas découvrir grand chose. je connaissais la plupart de ces enquêtes et de ces actions via ses réseaux sociaux. un chapitre du livre correspond à un front différent, en passant du Mexique et sa "cocaïne de la mer", le totoaba, jusqu'aux Îles Féroé et leur massacre de cétacés... (et là rien de moralisateur !)
lire ce genre de livres m'avait manqué.
(issu de mon compte Instagram @l.iris.me)
