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Critique de alainmartinez


Quelle difficulté de choisir un livre parmi toutes les parutions de la rentrée littéraire. « le dernier des nôtres » d'Adélaïde de Clermont-Tonnerre m'avait attiré par son côté roman historique.

Le récit nous fait suivre en parallèle, la rencontre à New York dans les années 70, de Werner et Rebecca, et l'histoire de la naissance à Dresde en Allemagne nazis de Werner.

Février 1945, dans Dresde en ruine après les bombardements alliés, une jeune femme, Luisa, à l'agonie met au monde un bébé qu'elle nomme Werner avant de le confier à sa belle-soeur Marthe. Ses dernières paroles seront : « ne changez pas son nom. Il est le dernier des nôtres ».

Fin 1969, Werner Zilch, jeune homme ambitieux et coureur de jupons, qui a été adopté très jeune par une famille américaine, se lance à la conquête de New York et de la fortune. C'est à ce moment-là qu'il rencontre et devient fou amoureux de Rebecca, artiste et riche héritière. Lors de sa présentation aux parents de sa belle, Judith la mère de Rebecca fait une crise de nerfs et un malaise en voyant Werner.

La construction du roman en chapitre alterné est agréable et se lit facilement. le récit est bien rythmé mais on passe d'un roman historique à un roman à l'eau de rose pour finir dans un pseudo thriller.
Pour dire la vérité je n'ai pas trop accroché. L'idylle entre Rebecca, la fille d'une rescapée des camps de concentration, et le fils d'un Allemand n'est pas du tout crédible. La seconde partie du roman n'est qu'un thriller de série « B ». le personnage principal, Werner, est antipathique pour ne pas dire insupportable. Je suis resté sur ma faim.
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