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Critique de ladesiderienne


Fidèle aux parutions d'Harlan Coben depuis le début, et cela malgré certaines déceptions (notamment "L'inconnu de la forêt), j'ai été ravie de découvrir que, dans son dernier polar, c'est Windsor Horne Lockwood III, qui mène la danse. Il avait, en compagnie de son ami Myron Bolitar, fait les beaux jours d'un bon nombre d'enquêtes écrites par l'auteur à ses débuts et j'avoue que son charme de beau gosse, riche, prétentieux mais au grand coeur, m'avait faite craquer.

J'ai beaucoup aimé cet opus car justement tout repose sur un personnage que j'adore. Dans "Gagner n'est pas jouer", Win est également le narrateur et il n'hésite pas à bousculer le lecteur en le prenant à partie. Moi, je craque pour son humour et son cynisme, que voulez-vous de plus ? A part cela, Harlan Coben nous propose une intrigue aux petits oignons où s'entremêlent allégrement un attentat datant des années 70, des séquestrations et viols de jeunes filles non élucidés, la disparition de deux tableaux de maître et le meurtre d'un vieil homme que le FBI recherchait. Tous ces différents évènements forment une immense toile d'araignée où la richissime famille De Win semblerait mêlée. Et voilà le début d'une enquête de haute volée qui va malmener le lecteur jusqu'à la dernière page.

Si je dois noter le plaisir de lecture, c'est assurément un 20/20, même si je suis tout à fait consciente que d'ici peu, et vu le rythme de production de cet auteur, il ne m'en restera pas grand chose. Rappelez-vous cependant, que, dans la vie, rien n'est tout blanc ou tout noir, tout n'est que nuances de gris.
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