Alors j'estime
Harlan Coben capable du pire comme du meilleur, mais je reconnais volontiers ne pas trop apprécier les livres avec son héros Myron Bolitar, alors je partais avec un a priori négatif.
Pourtant, j'ai bien aimé celui-ci, le sujet étant plus attrayant que d'autres, le côté sports étant davantage laissé de côté. Mais je ferai un retour plus élaboré sur l'autre titre de ce livre,
Peur noire.
Je déplore encore une fois le manque de rigueur et la piètre qualité de la traduction.
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