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Ce qu'il y a de bien avec Bolitar c'est que l'on ne s'ennuie jamais, du moins jusqu'à présent pour ce qui me concerne. Entre lui et sa bande, Win qui décroche le téléphone en prononçant : articule, en lieu et place de allô, ce qui me plie en quatre à chaque fois, si-si, j'suis bon public, Esperanza et sa partenaire de catch, Big Cindy, nous lecteurs nous sommes soignés et que demander de plus. Un cigare et un demi, pour moi, peut-être, pas compris dans le prix, tant pis, un whisky et une gitane alors (la cigarette bien sûr) ! Coben pour ce bouquin a mis le paquet, un journaleux plagiat, qu'on sait plus vraiment si c'est vrai ou pas, du lard ou du cochon, l'intrigue le dira, sûr de sûr, promis, des gardes du corps hyper balèzes que Win éliminera comme toi une mouche, d'un revers de main, le FBI, les flics, une ex, une actuelle, les deux bellouses en diable, à damner un sein euh... un saint, s'cusez, un fils qui tombe du ciel, une révélation qui tombe à l'eau, de la philosophie philosophique, si, enfin presque. Qu'on se rassure ce n'est pas du BHL. Une intrigue épatante, bien écrite comme d'hab, what else, rien. Bonne lecture et fait remarquable, après un Coben et avant dodo, on n'a jamais mal au crâne, tandis qu'avec Saint-John Perse si! Lien : https://www.babelio.com/livr.. + Lire la suite |