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Critique de secondo
Autobiographie ambivalente à l'image de Jean-Pierre Coffe, personnage attachant, touchant, terriblement naïf et formidablement chanceux.
On est donc attrapé par la sincérité du récit même s'il est inégal : voilà un homme qui n'est pas aimé ni par sa mère ni par sa première femme et qui va se faire aimer/détester pour la nourriture qu'il présente via les médias, voilà un homme qui débute sans argent et qui va danser toute son existence sur les montagnes russes de la richesse, voilà un homme profondément marqué par la disparition de son enfant unique et qui gardera cette cicatrice ouverte toute sa vie.
On est donc attrapé par la sincérité du récit même s'il est inégal : voilà un homme qui n'est pas aimé ni par sa mère ni par sa première femme et qui va se faire aimer/détester pour la nourriture qu'il présente via les médias, voilà un homme qui débute sans argent et qui va danser toute son existence sur les montagnes russes de la richesse, voilà un homme profondément marqué par la disparition de son enfant unique et qui gardera cette cicatrice ouverte toute sa vie.
