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Critique de bina
« Quand je sortais dans le monde, jeune romantique parmi les étrangers, je recherchais les rebelles et les inadaptés. Mes mentors comptaient surtout parmi ceux qui vivaient dans les marges : les rockers, les beats, les marchands forains, les gays et quelques criminels. Tous des raconteurs d'histoires obsessionnels, des faiseurs de mythes, comme moi ».
Et ce sont ces marginaux que nous suivons ceux qui forment, selon l'auteur, les ‘'vrais gens'' du Royaume Uni, que certains considèrent comme un état indépendant et qu'ils appelles La République, , tous ceux qui n'appartiennent pas à l'Anglo-Club.
L'anglo-club, c'est l'atmosphère so british que l'on retrouve dans certains téléfilms, ou dans des romans. Manoir, mixed-border, pelouse comme un billard, tea-time…cette Angleterre là, Nik Cohn la laisse de côté et nous le suivons de portrait en portrait, en quête de personnages hors du commun.
Et ce sont ces marginaux que nous suivons ceux qui forment, selon l'auteur, les ‘'vrais gens'' du Royaume Uni, que certains considèrent comme un état indépendant et qu'ils appelles La République, , tous ceux qui n'appartiennent pas à l'Anglo-Club.
L'anglo-club, c'est l'atmosphère so british que l'on retrouve dans certains téléfilms, ou dans des romans. Manoir, mixed-border, pelouse comme un billard, tea-time…cette Angleterre là, Nik Cohn la laisse de côté et nous le suivons de portrait en portrait, en quête de personnages hors du commun.
