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Critique de 3447
Ainsi s'achève la saga des « Écorchés ». La fin est douce, complète, ne laisse pas d'arrière-goût amer, elle fait sourire. Elle était certes prévisible mais reste agréable. Nécessaire. Ces romans montrent le parcours d'âmes écorchées – surtout de Luka, il faut bien le dire – qui tentent de se reconstruire et ils remplissent correctement les attentes. Je suis satisfaite de cette fin, elle me laisse avec un sentiment agréable, je pense que quatre tomes était le bon dosage, j'ai apprécié cette lecture du début à la fin.
Dans ce tome on est plongé dans l'enfer plutôt que dans l'après, ce qui change des tomes précédents, même si le tome trois comportait déjà des modifications du schéma principal. Ici, on suit un combattant, un champion des fosses, un tueur impitoyable. Toutefois, ses pensées sont bien plus claires que celles des narrateurs des tomes précédents, je l'ai trouvé très lucide, très direct dans ses pensées, et j'ai beaucoup aimé. Malgré sa froideur apparente 901 s'est révélé très attachant. Protecteur, possessif, des traits de caractère que j'étais une nouvelle fois très heureuse de retrouver. Toutefois, le concernant, j'ai eu l'impression qu'il avait moins de profondeur que les autres, peut-être parce qu'il n'avait qu'un présent et parce que j'ai l'impression qu'on n'en sait pas suffisamment à son sujet. de son côté, 152 m'a légèrement ennuyée au départ, mais au fil des pages je suis parvenue à l'apprécier. Leur histoire est belle et tendre, j'ai préféré la première partie du livre car ensuite j'avais une légère impression de déjà-vu. Même si j'ai adoré ce livre, le schéma de base reste le même que dans les précédents, donc pas de renouveau au niveau de la romance. Ce qui n'empêche pas de l'apprécier.
Concernant l'intrigue avec Luka et la Bratva, j'ai beaucoup aimé cette partie. J'ai aimé le plan – même si je n'ai eu aucun mal à l'identifier dès le début, tout comme le déroulement – et j'ai apprécié sa mise en oeuvre. Je suis toutefois restée sur ma faim au niveau des combats, le dénouement m'a paru quelque peu rapide. le « maître » était d'ailleurs un adversaire intéressant, particulièrement cruel, j'ai bien aimé le détester. Il n'avait cependant rien d'imprévisible à mes yeux, mais certainement parce que je lis beaucoup et que je vois beaucoup ce genre de personnages. Pour en revenir à l'intrigue de mafia : elle était développée et sensée, elle s'est mise en place au fil de la saga et j'ai vraiment aimé la voir s'achever ici.
Je me dois néanmoins de signaler un bémol à mes yeux : 362. Il était présent – d'une manière ou d'une autre – dans tous les tomes précédents, ce qui explique que je m'attendais – et avais hâte – à le trouver ici. J'aurais voulu en apprendre plus sur lui, que plus que les fosses, goulags, drogues, il soit un lien. Dommage.
Le livre reste cependant très bon, avec beaucoup de violence, des abus, de la perversion, j'ai beaucoup aimé la noirceur de ce tome. La romance a une nouvelle fois contrebalancé cet aspect sombre en apportant une touche très touchante et positive. Au final, cette saga était une agréable découverte, j'ai beaucoup aimé l'idée de base, celle avec des âmes écorchées, des individus emprisonnés qui tentaient désespérément de se libérer, la drogue occultant les souvenirs et l'amour qui guérit bien des blessures. Je pense me souvenir de cette autrice à l'avenir et peut-être lirai-je d'autres livres d'elle, surtout s'ils restent dans ces thèmes plutôt rudes et noirs avec une touche de sexy.
Dans ce tome on est plongé dans l'enfer plutôt que dans l'après, ce qui change des tomes précédents, même si le tome trois comportait déjà des modifications du schéma principal. Ici, on suit un combattant, un champion des fosses, un tueur impitoyable. Toutefois, ses pensées sont bien plus claires que celles des narrateurs des tomes précédents, je l'ai trouvé très lucide, très direct dans ses pensées, et j'ai beaucoup aimé. Malgré sa froideur apparente 901 s'est révélé très attachant. Protecteur, possessif, des traits de caractère que j'étais une nouvelle fois très heureuse de retrouver. Toutefois, le concernant, j'ai eu l'impression qu'il avait moins de profondeur que les autres, peut-être parce qu'il n'avait qu'un présent et parce que j'ai l'impression qu'on n'en sait pas suffisamment à son sujet. de son côté, 152 m'a légèrement ennuyée au départ, mais au fil des pages je suis parvenue à l'apprécier. Leur histoire est belle et tendre, j'ai préféré la première partie du livre car ensuite j'avais une légère impression de déjà-vu. Même si j'ai adoré ce livre, le schéma de base reste le même que dans les précédents, donc pas de renouveau au niveau de la romance. Ce qui n'empêche pas de l'apprécier.
Concernant l'intrigue avec Luka et la Bratva, j'ai beaucoup aimé cette partie. J'ai aimé le plan – même si je n'ai eu aucun mal à l'identifier dès le début, tout comme le déroulement – et j'ai apprécié sa mise en oeuvre. Je suis toutefois restée sur ma faim au niveau des combats, le dénouement m'a paru quelque peu rapide. le « maître » était d'ailleurs un adversaire intéressant, particulièrement cruel, j'ai bien aimé le détester. Il n'avait cependant rien d'imprévisible à mes yeux, mais certainement parce que je lis beaucoup et que je vois beaucoup ce genre de personnages. Pour en revenir à l'intrigue de mafia : elle était développée et sensée, elle s'est mise en place au fil de la saga et j'ai vraiment aimé la voir s'achever ici.
Je me dois néanmoins de signaler un bémol à mes yeux : 362. Il était présent – d'une manière ou d'une autre – dans tous les tomes précédents, ce qui explique que je m'attendais – et avais hâte – à le trouver ici. J'aurais voulu en apprendre plus sur lui, que plus que les fosses, goulags, drogues, il soit un lien. Dommage.
Le livre reste cependant très bon, avec beaucoup de violence, des abus, de la perversion, j'ai beaucoup aimé la noirceur de ce tome. La romance a une nouvelle fois contrebalancé cet aspect sombre en apportant une touche très touchante et positive. Au final, cette saga était une agréable découverte, j'ai beaucoup aimé l'idée de base, celle avec des âmes écorchées, des individus emprisonnés qui tentaient désespérément de se libérer, la drogue occultant les souvenirs et l'amour qui guérit bien des blessures. Je pense me souvenir de cette autrice à l'avenir et peut-être lirai-je d'autres livres d'elle, surtout s'ils restent dans ces thèmes plutôt rudes et noirs avec une touche de sexy.
