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Critique de Aurorum
J'ai commencé ce livre sans grand espoir, assez populaire dans la blogosphère donc pourquoi pas. Bon, c'est complètement raté. Tellement raté que j'ai même pas lu la moitié ...
Le roman débute commence par un "accident" de la route, où Anna a visiblement une amnésie. Elle se souvient de son nom, son lycée, son adresse, ses connaissances mais pas de ses parents. Très sélective, cette perte de mémoire. Elle vit seule avec son majordome télépathe (c'est ça le côté fantastique ?) dans un manoir chic dans l'Upper East Side. Son père est un grand architecte qui a construit ponts, arches et machineries dans tout New York. Elle se fait courtiser par un blondinet aussi beau que riche qui répond au doux nom de Wynter et qui la kidnappe presque chez lui. Et bien sûr, elle se laisse totalement faire. Oh et y'a un gars masqué qui tague des trucs vaguement poétique et flippant sur le mur de sa maison.
Pour commencer, je n'ai pas aimé le style de l'auteur. Tout manque de profondeur et de réalisme, que ce soit les personnages, l'intrigue ou les descriptions qui reste très sommaires. Je pense qui pourrait plaire à des préados aussi mièvre et sans caractère qu'Anna et qui rêve du prince charmant (un peu psycho) dans sa limousine blanche.
Le roman débute commence par un "accident" de la route, où Anna a visiblement une amnésie. Elle se souvient de son nom, son lycée, son adresse, ses connaissances mais pas de ses parents. Très sélective, cette perte de mémoire. Elle vit seule avec son majordome télépathe (c'est ça le côté fantastique ?) dans un manoir chic dans l'Upper East Side. Son père est un grand architecte qui a construit ponts, arches et machineries dans tout New York. Elle se fait courtiser par un blondinet aussi beau que riche qui répond au doux nom de Wynter et qui la kidnappe presque chez lui. Et bien sûr, elle se laisse totalement faire. Oh et y'a un gars masqué qui tague des trucs vaguement poétique et flippant sur le mur de sa maison.
Pour commencer, je n'ai pas aimé le style de l'auteur. Tout manque de profondeur et de réalisme, que ce soit les personnages, l'intrigue ou les descriptions qui reste très sommaires. Je pense qui pourrait plaire à des préados aussi mièvre et sans caractère qu'Anna et qui rêve du prince charmant (un peu psycho) dans sa limousine blanche.
