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Critique de Maureenbooks
Quand le présent vient percuter le passé.
1942. Antoine est pilote de chasse durant la Seconde Guerre Mondiale. Et lorsqu'il poursuis un Allemand lors d'une tempête,
il ne s'imagine pas que le présent va venir percuter le passé.
1913. Victoire se bat depuis le décès de son mari pour maintenir son hôtel à flot. Malheureusement ce ne sont pas les huissiers qui vont l'aider.
Mais lorsqu'un orage lui amène un amnésique, elle est loin de se douter que le puits au fond de son hôtel y est pour quelque chose.
Elle le recueille, et de fil en aiguille, de secret de famille en secret interdit ils vont se découvrir un fil ténu qui les lie.
L'hôtel n'y serai pas t'il pour quelque chose? Et surtout, que font ces cygnes noirs au fond de la propriété.
Un roman que j'ai moins apprécié que les autres sagas de cette autrice, peut-être dû au fait que je sois en vacances et donc la tête ailleurs.
Je n'ai pas eu le feeling comme j'ai eu avec Victor's rock.
Malgré tout j'ai trouvé une plume plus mâture, agréable à lire même si je n'ai pas réussi à me plonger pleinement dans l'intrigue qui avait
tout pour plaire et qui est parfaite pour les soirées automnales. Un hôtel mystérieux avec une étrange malédiction, un aviateur de 1942
qui se retrouve en 1913 et une romance qui prends son temps. Voilà un résumé grosso modo de ce premier tome de saga.
À travers ma lecture, j'ai ressenti le travail en amont de l'autrice qui a cherché à rendre son roman plus vrai que nature.
Elle réussi à nous faire visualiser les scènes de combat, les réunions dans le cadre du sauvetage de l'hôtel mais aussi des bois mystérieux
qui entoure cet endroit.
Les personnages sont toujours autant bien caractériels, chacun avec sa manière de penser mais qui se complètent tout au final. Certains ont
eu un coup de coeur pour la grand-mère, moi il a été pour Manav le petit groom. Il m'a touché avec son innocence non feinte, et surtout par
la fin tragique de sa relation.
J'ai adoré voir la relation Antoine/Karl évoluer tout au long du roman, car ils vont réussir à passer la barrière qui les relie.
Et c'est au final, le sacrifice qui va mettre un terme à leurs différences.
Mais c'est le personnage de Victoire qui est le plus travaillé pour moi, car il s'agit d'une veuve qui doit se battre pour exister sans homme
au milieu d'une société qui ne veut pas d'elle.
Ici nous jouons avec les illusions, avec le spirituel mais il m'a manqué une petite touche en plus pour plonger pleinement dans ce côté
fantastique.
En bref, un roman qui a tout d'époque, avec un soupçon de magie qui est à découvrir.
1942. Antoine est pilote de chasse durant la Seconde Guerre Mondiale. Et lorsqu'il poursuis un Allemand lors d'une tempête,
il ne s'imagine pas que le présent va venir percuter le passé.
1913. Victoire se bat depuis le décès de son mari pour maintenir son hôtel à flot. Malheureusement ce ne sont pas les huissiers qui vont l'aider.
Mais lorsqu'un orage lui amène un amnésique, elle est loin de se douter que le puits au fond de son hôtel y est pour quelque chose.
Elle le recueille, et de fil en aiguille, de secret de famille en secret interdit ils vont se découvrir un fil ténu qui les lie.
L'hôtel n'y serai pas t'il pour quelque chose? Et surtout, que font ces cygnes noirs au fond de la propriété.
Un roman que j'ai moins apprécié que les autres sagas de cette autrice, peut-être dû au fait que je sois en vacances et donc la tête ailleurs.
Je n'ai pas eu le feeling comme j'ai eu avec Victor's rock.
Malgré tout j'ai trouvé une plume plus mâture, agréable à lire même si je n'ai pas réussi à me plonger pleinement dans l'intrigue qui avait
tout pour plaire et qui est parfaite pour les soirées automnales. Un hôtel mystérieux avec une étrange malédiction, un aviateur de 1942
qui se retrouve en 1913 et une romance qui prends son temps. Voilà un résumé grosso modo de ce premier tome de saga.
À travers ma lecture, j'ai ressenti le travail en amont de l'autrice qui a cherché à rendre son roman plus vrai que nature.
Elle réussi à nous faire visualiser les scènes de combat, les réunions dans le cadre du sauvetage de l'hôtel mais aussi des bois mystérieux
qui entoure cet endroit.
Les personnages sont toujours autant bien caractériels, chacun avec sa manière de penser mais qui se complètent tout au final. Certains ont
eu un coup de coeur pour la grand-mère, moi il a été pour Manav le petit groom. Il m'a touché avec son innocence non feinte, et surtout par
la fin tragique de sa relation.
J'ai adoré voir la relation Antoine/Karl évoluer tout au long du roman, car ils vont réussir à passer la barrière qui les relie.
Et c'est au final, le sacrifice qui va mettre un terme à leurs différences.
Mais c'est le personnage de Victoire qui est le plus travaillé pour moi, car il s'agit d'une veuve qui doit se battre pour exister sans homme
au milieu d'une société qui ne veut pas d'elle.
Ici nous jouons avec les illusions, avec le spirituel mais il m'a manqué une petite touche en plus pour plonger pleinement dans ce côté
fantastique.
En bref, un roman qui a tout d'époque, avec un soupçon de magie qui est à découvrir.
